Comment s’organiser face aux nouvelles obligations sur les comptes bancaires inactifs et les contrats d’assurance-vie en déshérence ?

La Rédaction
Le Courrier Financier
La Loi Eckert, entrée en vigueur le 1er janvier 2016, prévoit le renforcement des obligations des professionnels à l'égard des épargnants et des bénéficiaires de contrats d'assurance-vie en introduisant de nouvelles dispositions sur les comptes bancaires inactifs et les contrats d'assurance-vie en déshérence. L'EIFR propose un atelier pour aider à mettre en place les meilleures pratiques pour respecter les obligations en la matière. Après un rappel de la réglementation applicable par le Cabinet Mazars, la Caisse des Dépôts décrira son rôle pivot dans ce domaine, puis La Banque Postale évoqura les enjeux opérationnels pour un établissement bancaire et Axa pour un groupe d'assurances. Un exemple de réponse opérationnelle sera enfin donné au travers de l'offre intégrée de conseil autour de l'outil Mister Doe de détection et de gestion de ces contrats, issu du programme d'incubation et d'open innovation du cabinet Mazars.
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Débat autour de la mutation et des défis pour les intermédiaires en services financiers

La Rédaction
Le Courrier Financier
L'EIFR fait ce constat : les CIF et les IOBSP doivent repenser business models et modes opératoires. Quatre directions se dessinent : les conditions d'exercice du métier (agréments), la chaîne métier entre producteur et client final et impact sur les circuits (mandats, responsabilité amont et aval), la rémunération et enfin la surveillance et contrôles par les "producteurs", les régulateurs, les structures professionnelles, les équipes internes… "Ces filières sont caractérisées par un ancrage assez profond dans les cultures et pratiques nationales. Les principes européens doivent donc se décliner de manière harmonieuse et cohérente avec les pratiques locales" estime l'EIFR. Par exemple, les lignes directrices de l'ESMA pour l'évaluation des connaissances et compétences nécessaires dans le contexte de MiFID II sont actuellement soumises aux superviseurs nationaux qui devraient les adapter aux besoins et à la réalité de ces activités. Le conseil est au cœur du processus de vente d'un produit financier et ce d'autant plus que le consommateur est éloigné de la culture financière. Comment dans ce cas intégrer du conseil robotisé ? Comment lier le conseil à l'acte de vente ? Comment valoriser le conseil pour qu'il soit rémunéré ? L'EIFR propose aux professionnels intermédiaires en services financiers de débattre de toutes ces problématiques pour permettre d'avancer sur une "smart régulation".
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Conseil financier : comment faciliter le reporting ?

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le reporting et la gestion des données deviennent un enjeu stratégique à la fois pour l'Europe et la zone Euro et pour les institutions financières, l'accumulation des obligations déclaratives provenant de chaque nouvelle régulation pose des problèmes de faisabilité technique et de coût tant du côté des émetteurs que des récepteurs. La BCE dans ses responsabilités de politique monétaire et de stabilité macro-prudentielle doit nécessairement s'appuyer sur un système statistique de grande ampleur, qui peut être un élément puissant d'harmonisation et donc de compétitivité à l'échelle des Etats membre, mais à la condition qu'il soit gérable pour tous ! Jean-Marc Israël présentera comment la BCE peut devenir une sorte de facilitateur en la matière. Il présentera les projets BIRD "Bank Integrated Reporting Dictionnary" et le reporting intégré (ERF). Il s'appuiera sur le projet AnaCredit comme illustration mais aussi comme pilote pour aider à la mise en place du BIRD et de l'ERF.
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Services de paiement : qu’attendre de la nouvelle directive européenne ?

La Rédaction
Le Courrier Financier
La deuxième directive sur les services de paiement va entrer en vigueur en 2017. La première a permis l’émergence d’acteurs non bancaires avec moins de contraintes. EIFR organise un débat sur sa transposition en France
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Quand trop de protection tue la protection

Bernard Agulhon
L’objectif central du projet de Capital Market Union est celui de la relance du financement de l’économie réelle par le marché financier. Pour être durable, cette substitution partielle au rôle majeur qu’occupent aujourd’hui les banques dans le financement de l’économie européenne doit s’appuyer sur un recours beaucoup plus marqué à l’épargne des ménages.
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EIFR : quelles régulations pour tarifer le carbone à la suite de la COP- 21?

La Rédaction
Le Courrier Financier
La conférence de Paris a vu une mobilisation réelle des industriels et de la communauté financière. Mais il ne faut pas se leurrer : les mutations à réaliser pour rejoindre un scénario de réchauffement à moins de 2° C ne peuvent reposer sur le seul volontariat. Elles exigent de nouvelles régulations permettant de faire émerger une tarification du carbone à l’échelle internationale. L'EIFR propose à Christian de Perthuis d'exposer les voies à explorer, en France en Europe et dans le monde pour y parvenir. La chute des prix des fossiles sur les marchés mondiaux facilite l’acceptabilité de la tarification carbone. Les gouvernements sauront ils saisir à temps cette opportunité pour réussir "l’après COP-21" ? Début de réponse le mardi 15 mars. Professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine, Christian de Perthuis a commencé sa carrière dans le secteur agricole avant d’occuper des fonctions de direction dans deux instituts de recherche économique : Rexecode et le Bipe. Dans les années 2000 il a dirigé la « Mission climat » de la Caisse des Dépôts, puis a fondé la Chaire Economie du Climat à l’université Paris-Dauphine. Il a conduit différentes missions pour les pouvoirs publics, la dernière en date étant la présidence du Comité pour la Fiscalité Ecologique dont les propositions ont abouti à l’introduction d’une taxe carbone dans la fiscalité française. Christian de Perthuis est auteur d’une dizaine d’ouvrages, dont plusieurs ont été traduits en anglais et en chinois. Son dernier essai, Le Climat, à quel prix ? La négociation climatique, co-écrit avec Raphaël Trotignon vient de paraître aux Editions Odile Jacob. Il est l’auteur de deux ouvrages : "Pricing Carbon : The European Union Emissions Trading Scheme" paru chez Cambridge University Press en 2010 et "Green Capital" chez Columbia University Press en 2015.   >> Participer à la conférence de Christian de Perthuis
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Survivre n’est pas un objectif de long terme, il faut aussi croître

Edouard-François de Lencquesaing
EIFR
L’Europe est en effet passée au bord du gouffre. Stabilité financière et nouvelle gouvernance économique ont sauvé la mise. Survivre ne peut être un objectif de long terme, il faut vivre, donc croitre, c’est-à-dire prendre des risques voilà le réel défi pour redonner du sens à l’Europe.
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EIFR : les enjeux opérationnels de l’ANACREDIT et du reporting BCE au menu de l’atelier du 16 février

La Rédaction
Le Courrier Financier
EIFR rappelle que la réglementation Anacredit a pour objectif de centraliser à un niveau granulaire fin les encours de crédits accordés par les institutions financières de la zone Euro. Elle entrera en vigueur dans sa première phase au 1er janvier 2018 sous l'impulsion du Système européen des Banques centrales dont l'ambition est l'harmonisation des dispositifs de collecte des données de crédit. Anacredit est une nouvelle étape-clé pour les obligations de reporting des institutions financières du fait de l'étendue du périmètre des produits couverts et de la granularité requise. La production d'une centaine de données de crédit par ligne d'engagement à une fréquence a minima trimestrielle et le seuil de déclaration très bas des transactions vont nécessiter une refonte des plateformes permettant la collecte, l'agrégation, les calculs et la production des reportings réglementaires. Face à ces nouvelles obligations, où les établissements financiers doivent-ils porter leurs efforts? Quelles sont les solutions à mettre en œuvre et quels sont les délais pour se préparer ? C'est à ces questions que répondra l'atelier du 16 février 2016 organisé l'association dédiées aux échanges autour de la régulation financière et des problématiques qui s'y rapportent. Il est animé par Franck Coisnon (Atos consulting), Julien Wolff (Axiom SL) et Edouard-François de Lencquesaing. > Plus d'informations sur le site de l'EIFR
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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Le shadow banking peut-il soutenir le développement économique?

La Rédaction
Le Courrier Financier
Trois enseignants à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et du Labex-ReFi interviendront à cette matinale consacrée au shadow banking. D'abord Jean-Jacques Pluchart sur le défi pour les économies émergentes. Selon les rapports du FSB et du FMI, les plus fortes croissances des flux financiers issus du shadow banking sont observées au sein des BRIC et des économies émergentes. Cette dynamique suscite les questionnements des autorités de régulation, des milieux financiers et des communautés scientifiques sur l'ampleur des risques (systémiques) que fait directement encourir le shadow banking à ces économies - et indirectement aux économies occidentales - et sur les effets d'un "Shadow Banking non aligné". Ensuite, Constentin Mellios évoquera l'ouverture sur de nouveaux canaux de financement. Un véritable canal de financement alternatif aux canaux traditionnels qui met en évidence les mutations des modes d'intermédiation bancaire et dégagent les perspectives d'évolution des nouveaux canaux de financement de l'économie. Enfin Eric Lamarque donnera son opinion sur une série de questions. Le shadow banking, une réalité difficile à cerner ? Est-ce réellement un mode de financement alternatif ? Quels sont les risques portés par ces nouveaux acteurs ? Est-ce un concurrent du système bancaire traditionnel ? Faut-il et jusqu'où le réguler ?
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Le site Internet de l’EIFR change de look

La Rédaction
Le Courrier Financier
Annoncé il y a quelques semaines, le nouveau site de l'European Institute of Financial Regulation va singulièrement évoluer. En effet, outre le design qui sera révélé lundi 18 janvier, la connexion au site nécessitera la création d'un compte avec un identifiant et un mot de passe. Ce dernier pourra être réinitialisé à tout moment si vous l'oubliez. L'accès au site par identifiant vous permettra de vous inscrire plus rapidement et facilement aux évènements organisés très régulièrement par l'EIFR.
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