Critères ESG : DWS lance 4 ETF Xtrackers sur les facteurs d’actions

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Group — gérant d'actifs mondial — annonce ce mardi 18 juillet lancer quatre nouveaux ETF Xtrackers sur les facteurs d'actions avec des critères ESG. Les investisseurs peuvent ainsi suivre les facteurs liés aux actions dans leur portefeuille. Ces nouveaux ETF prennent en compte les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) du fournisseur d'indices MSCI.

Ils permettent aux investisseurs d'investir dans les facteurs Value, Momentum, Quality et Minimum Volatility et de suivre différentes variantes de la série MSCI World Factor Low Carbon SRI Screened Select. Les quatre nouveaux Xtrackers MSCI World Factor ESG UCITS ETF ont été cotés à la Bourse allemande le 17 juillet et à la Bourse de Londres le 18 juillet.

Caractéristiques fondamentales

En 2014, Xtrackers a lancé des ETF permettant aux investisseurs de suivre les facteurs Value, Quality, Momentum et Minimum Volatility dans leurs portefeuilles. Aujourd'hui, la nouvelle série combine la méthodologie éprouvée des facteurs MSCI avec une approche ESG. Il est important de souligner que les indices factoriels ESG reflètent également les facteurs d'actions sous-jacents avec une précision similaire à celle d'un indice non ESG.

Contrairement aux méthodes indicielles traditionnelles basées sur la capitalisation boursière, les approches factorielles ciblent des sources de rendement individuelles. La valeur, le momentum, la qualité et la volatilité minimale sont des facteurs d'actions bien établis et largement utilisés. Les investisseurs se concentrent sur des caractéristiques fondamentales telles qu'une valorisation favorable (valeur) et une qualité de bilan élevée (qualité) ou sur des évolutions spécifiques du cours des actions (momentum, volatilité minimale).

« Près de dix ans après le lancement par Xtrackers des premiers ETF factoriels, les investisseurs peuvent désormais utiliser ces stratégies dans le cadre d'une allocation d'actifs durable », déclare Simon Klein, Global Head of Xtrackers Sales chez DWS.

Lire (2 min.)

DWS élargit l’offre Xtrackers S&P 500 avec de nouveaux ETF ESG

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Group (DWS) — gérants d’actifs mondial — annonce ce mercredi 21 décembre le lancement de deux nouveaux ETF Xtrackers sur le marché actions américain. Ces ETF répliquent l'indice S&P 500 et intègrent des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). DWS élargit ainsi sa gamme d'ETF Xtrackers S&P 500, qui comptabilise plus de 11 Mds€ d’encours sous gestion au 30 novembre 2022. L'ETF UCITS Xtrackers S&P 500 Equal Weight a été le premier en Europe à répliquer cet indice lors de son lancement en 2014.

Le Xtrackers S&P 500 ESG UCITS ETF et le Xtrackers S&P 500 Equal Weight ESG UCITS ETF sont cotées à la Deutsche Boerse (Allemagne) et sur le London Stock Exchange (Royaume-Uni), et d'autres cotations sont prévues. L'indice S&P 500 suit les 500 plus grandes sociétés du marché boursier américain en termes de capitalisation. C'est l'un des plus importants indices de référence des actions dans le monde. L'indice S&P 500 Equal Weight suit les mêmes sociétés, mais chacune des 500 actions qui le composent est pondérée de manière égale, à 0,2 %. 

Critères ESG et politiques d'exclusion

Les ETF Xtrackers nouvellement lancés suivent des indices qui prennent en compte des critères supplémentaires pour sélectionner les membres de l'indice. L'indice S&P 500 ESG et l'indice S&P 500 Equal Weight ESG prévoient initialement un certain nombre d'exclusions avant de sélectionner les sociétés en tenant compte des critères E, S et G. Par exemple, les entreprises dont les revenus dépassent les seuils fixés pour les activités liées au charbon thermique, au tabac et aux armes controversées, entre autres, sont exclues.  

En outre, les entreprises sont exclues pour avoir violé des standards internationaux, tels que les principes du Pacte mondial des Nations Unies. Enfin, les entreprises sans score ESG S&P DJI sont exclues, ainsi que celles qui se situent parmi les 25 % ayant le plus mauvais score ESG de la classification GICS. Dans un deuxième temps, les membres de l'indice sont répertoriés en fonction de leur score ESG S&P DJI. Pour le score S&P DJI ESG, les données des entreprises sont collectées et évaluées par S&P Global ESG Research sur les normes ESG d'entreprise.

Elargir l'offre Xtrackers pour les investisseurs

L'indice S&P 500 ESG et l'indice S&P 500 Equal Weight ESG ciblent tous deux un pourcentage fixe de la capitalisation boursière ajustée au flottant (FMC) du S&P 500 en utilisant les scores S&P DJI ESG. L'indice S&P 500 ESG cible 75% de la FMC du S&P 500 et sélectionne les entreprises de chaque groupe sectoriel GICS de l'indice S&P 500 ayant le meilleur score ESG, tandis que l'indice S&P 500 Equal Weight ESG cible 60% de la FMC avec le même processus.

Par conséquent, les indices S&P 500 ESG et S&P 500 Equal Weight ESG comprennent en fin de compte environ 300 actions au lieu des 500 actions initiales. Les méthodologies des indices sont conçues pour garantir que les indices ESG présentent des caractéristiques de risque sectoriel similaires à celles de l'indice original.

« L'importance des ETF qui suivent le marché des actions américaines en intégrant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance dans un portefeuille a considérablement augmenté ces dernières années. Nous sommes heureux d'élargir davantage notre offre Xtrackers pour les investisseurs avec des solutions attrayantes », déclare Simon Klein, responsable mondial des ventes passives chez DWS.

Lire (3 min.)

Accord de Paris : DWS lance un nouvel ETF Xtrackers

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Group (DWS) — gérants d’actifs mondial, avec 833 Mds€ d’actifs sous gestion au 30 septembre 2022 — annonce ce mardi 6 décembre le lancement d'un nouvel ETF Xtrackers basé sur les marchés d'actions émergents. Il met l'accent sur les caractéristiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), et est aligné sur les objectifs de l'Accord de Paris de 2015.

DWS a déjà lancé six ETF d'actions basés sur la même méthodologie d'indice, offrant une exposition aux marchés d'actions suivants : Global, USA, Europe, Eurozone, Japon et désormais les marchés émergents. DWS a lancé en novembre 2022 quatre ETF Xtrackers qui suivent le marché des obligations d'entreprises en euros et en dollars américains avec différentes échéances et dont les indices suivis sont également alignés sur les objectifs de cet accord.

S'aligner sur l'Accord de Paris

Le Xtrackers Emerging Markets Net Zero Pathway Paris Aligned UCITS ETF est coté sur la Deutsche Boerse et le London Stock Exchange, d'autres bourses sont prévues à l’avenir. L'ETF vise à réduire les émissions conformément aux objectifs de l'accord de Paris sur le climat, l'indice sous-jacent correspondant donc aux règlements de l'UE sur les indices de référence alignés sur Paris.

Plus précisément, l'ETF suit l'indice Solactive ISS ESG Emerging Markets Net Zero Pathway. Ce dernier vise à atteindre une réduction de 50 % de l'intensité carbone par rapport à un indice de marché équivalent non ESG, conformément aux objectifs de Paris, ainsi qu'une réduction continue de 7 % par an de l'intensité carbone. 

« Avec ce nouvel ETF, nous proposons désormais une gamme complète de produits alignés sur l'accord de Paris sur le climat — offrant aux investisseurs des solutions adaptées aux marchés développés et émergents », déclare Simon Klein, responsable mondial des ventes passives chez DWS.

Contre le changement climatique

Tous les ETF actions Xtrackers de la série Net Zero Pathway se caractérisent par le fait qu'ils sont alignés sur l'Accord de Paris sur le climat. Ils tiennent également compte des recommandations de l'Institutional Investors Group on Climate Change (IIGCC), telles que définies dans le « Net Zero Investment Framework Implementation Guide ». Cela signifie que les indices ne pondèrent pas uniquement les membres de l'indice inclus sur la base de leur intensité carbone, conformément aux recommandations de l'IIGCC.

La surpondération des entreprises dans les indices est basée sur leur degré d'adoption d'objectifs scientifiques, tels que définis par l'initiative du même nom. Sont également pris en compte pour la pondération de l'indice les normes relatives au reporting climatique définies par la Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD) et les efforts déployés pour lutter contre le changement climatique.

Lire (3 min.)

Etude DWS : les fonds de pension s’intéressent de plus en plus aux investissements à impact

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'investissement à impact devrait bientôt conquérir les marchés, et les investissements passifs tels que les fonds négociés en bourse (ETF) et les mandats seront des moteurs importants de cette tendance. Telle est la principale conclusion de la dernière étude réalisée par DWS et CREATE-Research : « Investissement d'impact 2.0 - Avancer sur les marchés publics ». Par investissement à impact, on entend généralement les formes d'investissement qui ont un objectif social et/ou environnemental en plus d'un rendement financier.

"Atténuer les effets négatifs"

L'étude montre que le développement de l'investissement à impact est dû notamment à deux données : pour atteindre l'objectif mondial net zéro d'ici 2050, des investissements de 100 000 milliards d'USD seront probablement nécessaires ; et pour mettre en œuvre les 17 objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies d'ici 2030, des dépenses annuelles de 5 000 à 7 000 milliards d'USD seront nécessaires.

Les marchés privés ne peuvent pas lever ces capitaux par eux-mêmes en raison de leur capacité d'adaptation limitée. Toutefois, les instruments cotés en bourse, tels que les fonds et les ETF, offrent à la fois l'échelle et la portée nécessaires pour mobiliser les capitaux requis.

Le rapport montre dans quelle mesure cette évolution a progressé, en se fondant sur une enquête menée auprès de 50 des plus grands fonds de pension d'Amérique du Nord, d'Europe, d'Asie et d'Australie, qui gèrent ensemble des actifs de 3 300 milliards d'euros (en juillet 2022). Il révèle que 22% des fonds de pension ont déjà ou sont en train d‘incorporer l'investissement à impact à leurs investissements passifs.

« Les fonds de pension considèrent de plus en plus qu'il est de leur devoir de contribuer, au nom de leurs retraités, à atténuer les effets négatifs du développement économique réalisé dans le passé sur l'environnement, le climat et la biodiversité. Le chemin est encore long, mais un premier pas important a été franchi », a déclaré Amin Rajan, directeur général de CREATE-Research.

"Une forte demande"

Le principe du « net zero » et les ODD des Nations Unies pouvant être reproduits par des indices fondés sur des règles, tels que les indices de référence de l'Union Européenne pour la transition climatique et l’Accord de Paris, les produits indiciels relatifs aux ODD, voire les indices d'obligations vertes, ainsi que les expositions passives thématiques au moyen d'ETF et de mandats, sont autant d'outils qui peuvent aider l'investissement à impact à faire une percée sur les marchés publics.

Le rapport confirme ce point de vue : 58% des participants à l'enquête pensent que l'intérêt de plus en plus fort pour les fonds thématiques se transformera en investissement à impact au fil du temps. 64% d'entre eux estiment que l'objectif net zéro favorisera l'investissement à impact, tandis que 54% s'attendent à ce que les ODD offrent de nouvelles opportunités. 28% des fonds de pension prévoient d'utiliser les indices des ODD et de la transition climatique de l'UE et de Paris au cours des trois prochaines années.

« L'importante étude de CREATE-Research montre que les ETF et les mandats passifs peuvent faire toute la différence pour aider l'investissement à impact à s'imposer. Nous constatons déjà une forte demande de la part des investisseurs privés et institutionnels pour les indices qui formulent des objectifs concrets, et nous allons intensifier nos efforts dans ce domaine », a déclaré Simon Klein, Responsable mondial des ventes passives chez DWS.

Lire (3 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

DWS : Asoka Woehrmann démissionne, un nouveau CEO nommé

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le groupe DWS — société allemande de gestion d'actifs — a annoncé ce mercredi la décision d’Asoka Woehrmann de quitter ses fonctions, en accord avec la société, à l'issue de l'Assemblée générale annuelle qui aura lieu le 9 juin prochain. Stefan Hoops, jusqu'à présent Responsable de la banque d'affaires de la Deutsche Bank, prendra la direction générale de DWS en date du 10 juin 2022.

Stefan Hoops, un dirigent hors-pair

« J'ai toujours consacré toute mon énergie au service de DWS, et plus particulièrement encore depuis ma nomination en tant que CEO en octobre 2018 », a déclaré Asoka Woehrmann.
Elle poursuit : « Alors que la société a connu les trois années les plus performantes de son histoire, DWS est aujourd’hui stable, profitable et continue d’afficher des résultats positifs dans un environnement de marché difficile. Toutefois, les allégations formulées tant à l'encontre de DWS que de moi-même au cours des derniers mois sont devenues un fardeau pour l'entreprise, pour moi et pour ma famille. Aussi, afin de protéger l'institution et mes proches, je prends la décision de quitter mes fonctions et de m’orienter vers un nouveau départ ».

Karl von Rohr, président de la Deutsche Bank et président du conseil de surveillance de DWS, a salué les résultats d’Asoka Woehrmann. « Je tiens à remercier Asoka Woehrmann pour ses nombreuses années de travail passionné et d'implication pour DWS. Grâce à son engagement, DWS a atteint de nouveaux sommets, s'est introduit avec succès en bourse et est très bien positionné pour l'avenir », a-t-il déclaré. « C’est avec beaucoup de respect que j’accueille sa décision, qui témoigne d'un sens aigu des responsabilités ».

« Stefan Hoops, un dirigeant hors-pair se tient prêt à prendre la relève à la tête de DWS », a ajouté Karl von Rohr. « Au cours des dernières années, il a démontré à la fois son expertise des marchés de capitaux et ses excellentes qualités managériales à différents postes. Sa vision stratégique et son expérience en matière de digitalisation donneront un élan important à la poursuite du développement de DWS ».

S. Hoops a assuré : « Je suis très heureux d'avoir le privilège de diriger DWS, une société de gestion d'actifs reconnue pour son excellence, et de continuer à développer avec toute l’équipe, notre position et pertinence sur le marché ».

Le profil de Stefan Hoops

Stefan Hoops rejoint la Deutsche Bank en 2003, dans le secteur Fixed Income Sales. Il entre ensuite au Credit Trading à New York en 2008, et occupe divers rôles de direction au sein du département Global Markets aux États-Unis et en Allemagne au cours des années suivantes, notamment celui de responsable mondial des ventes institutionnelles. En octobre 2018, il est nommé responsable des transactions mondiales de la Deutsche Bank (DB). Depuis juillet 2019, Stefan dirige la banque d’affaires de la DB, qui englobe toutes les activités de la clientèle d'entreprise et commerciale de la DB.

Il est titulaire d'un master en Business Administration et d'un doctorat en économie de l'université de Bayreuth. Sa nomination en tant que directeur général de DWS, le 10 juin 2022, est soumise à l'approbation des autorités réglementaires.

Lire (3 min.)

SCPI Rivoli Avenir Patrimoine : Amundi Immobilier acquiert un immeuble de bureaux à Paris

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Groupe DWS — gérants d’actifs mondial — annonce ce lundi 14 mars la vente d’un immeuble de bureaux d’un de ses fonds immobiliers institutionnels à la société de gestion Amundi Immobilier (filiale dédiée dans la gestion d'actifs immobiliers d'Amundi), pour le compte de la SCPI Rivoli Avenir Patrimoine.

« La cession de cet actif s’inscrit dans notre stratégie globale et permet de réduire l’exposition du fonds à Paris et disposer ainsi, de liquidités pour d’autres projets en cours ou futurs. Cette transaction permet à l’acquéreur de disposer d’un immeuble de bureaux parisien de taille moyenne, multi-locataires, avec des plateaux attractifs et fonctionnels », indique Chiara Randazzo, Head of Transactions DWS France, Luxembourg & Belgique.

SCPI Rivoli Avenir Patrimoine : Amundi Immobilier acquiert un immeuble de bureaux à Paris
Amundi Immobilier rachète l'immeuble Daviel à Paris (XIIIe) pour sa SCPI Rivoli Avenir Patrimoine
Source : DWS

6 400 m² de bureaux

Cet immeuble de bureau se situe au 23-27 rue Daviel dans le XIIIe arrondissement de Paris. Il développe une surface totale de 6 400 m². Construit dans les années 1970, il a été rénové en 2008-2009 par Ory architecture. Le bâtiment récent est bâti sur neuf étages et le bâtiment historique sur dix étages. Il comprend 41 places de parking, des balcons et un toit-terrasse.

L’immeuble Daviel est loué à quatre locataires — dont le principal est Pôle Emploi. Il dispose de tous les équipements optimaux et répond pleinement aux standards d’un bâtiment tertiaire : 2,7 mètres de hauteur sous plafond, connecté au système de chauffage urbain (CPCU), lumière naturelle sur les deux côtés, deux ascenseurs, un accès pour personnes handicapés dans les espaces loués par Pôle Emploi et des surfaces flexibles de 480 m² à 740 m².

Lire (2 min.)

Finance durable : DWS lance le fonds actions internationales DWS Invest ESG Women for Women

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Group — gérant d'actifs mondial — lance ce lundi 17 janvier un nouveau fonds d'actions axé sur le développement durable. Le fonds « DWS Invest ESG Women for Women » investit à l'échelle mondiale dans des entreprises qui mettent l'accent sur la protection de l'environnement, la bonne gouvernance d'entreprise et le traitement équitable de leurs employés. Le fonds accorde une attention particulière aux aspects sociaux des critères ESG.

Critères ESG et analyse fondamentale

Le fonds « DWS Invest ESG Women for Women » est géré exclusivement par des femmes. Il cible spécifiquement les besoins des femmes lors de la sélection de leurs investissements. Pour sélectionner les entreprises performantes en termes de valeurs sociales et de conditions de travail équitables, l'équipe de 12 femmes gérantes de portefeuille dirigée par Katharina Seiler, Valerie Schueler et Lilian Haag utilise le Social Commitment Score de DWS.

Ce score évalue les entreprises en fonction de cinq facteurs : conditions de travail tout au long de la chaîne de valeur, l'égalité des droits et des chances, la parité hommes-femmes au sein de la direction, l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée et la flexibilité de l'environnement de travail. « La sélection du fonds comprend des entreprises qui sont leaders dans le ‘Social Commitment Score’ ainsi que des entreprises pour lesquelles la direction du fonds perçoit des progrès particulièrement importants », explique Katharina Seiler.

Les entreprises font également l'objet d'une analyse fondamentale classique qui met l'accent sur le modèle d'entreprise, la gestion et les questions de croissance et d'évaluation. Les gérantes du fonds « DWS Invest ESG Women for Women » se concentrent également sur les tendances d'investissement à long terme telles que la numérisation, l'éducation, les énergies renouvelables, les infrastructures, la santé, la recherche et la connectivité.

Accès des femmes au marché actions

Les facteurs sociaux prennent de plus en plus important depuis la pandémie de Covid-19. « Les aspects sociaux sont un facteur de réussite de plus en plus important pour les entreprises. Ils peuvent avoir un effet positif sur la productivité et les bénéfices des entreprises, ce qui pourrait également se traduire par une performance positive sur le marché boursier à long terme », explique la gestionnaire de portefeuille Valerie Schueler.

Sur une période de cinq ans, les entreprises américaines de l'indice S&P 500 bien positionnées en termes de « facteur S » ont obtenu de meilleurs résultats que le marché général. « Nous voulons motiver les femmes à prendre en charge la gestion de leur patrimoine, notamment en raison du déficit des régimes de retraite qui se profile à l'horizon », déclare Lilian Haag.

Selon la gérante de portefeuille, contrairement aux hommes, les femmes ont encore beaucoup de retard à rattraper en ce qui concerne le marché des capitaux. Bien qu'environ 80 % des femmes épargnent déjà régulièrement, seule une sur huit investit son argent sur le marché des actions d'après une étude Bank of America, menée entre fin avril 2021 et fin décembre 2021.

Lire (3 min.)

ESG : DWS met en place une gamme d’ETF Xtrackers sectoriels

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS — gérant d’actifs mondial — annoncent ce mercredi 22 septembre le lancement d'une gamme de dix ETF Xtrackers sectoriels ESG sur les actions européennes, qui répliquent les indices MSCI. Les flux vers les ETF Xtrackers ESG ont été positifs cette année, enregistrant plus de 4,4 milliards d'euros depuis le début de l'année (chiffres arrêtés à la fin du mois d'août, source DWS en date du 1er septembre 2021).

« Nous nous réjouissons du lancement de ces nouveaux ETF Xtrackers qui offrent une exposition aux indices sectoriels européens MSCI sélectionnés en fonction de critères ESG. Cela correspond à la demande que nous constatons chez nos investisseurs.  Les frais annuels très compétitifs devraient également s'avérer attrayants », déclare Simon Klein, Responsable mondial des ventes pour la gestion passive chez DWS.

Indices sectoriels européens

Neuf ETF Xtrackers sectoriels existants viennent d’être convertis en indices sous-jacents MSCI filtrés ESG. Avec le lancement en juin 2021 du Xtrackers MSCI Europe Consumer Discretionary ESG Screened UCITS ETF 1C, une gamme de dix ETF Xtrackers sectoriels sur actions européennes ESG Screened a été créée.

Ils traquent les indices MSCI et utilisent tous une réplication physique directe. Les produits offrent une exposition aux secteurs suivants : communication, consommation de biens non-essentiels, énergie, financières, santé, industrie, technologies de l'information, utilities, matériaux et consommation de base.

Intégration des critères ESG

Les ETF se basent sur la recherche ESG de MSCI et combinent la méthodologie établie par le fournisseur d'indices en matière de filtres ESG avec une étape de sélection supplémentaire pour les armes conventionnelles et d'autres domaines, tout en éliminant les sociétés les plus « en retard » en termes de système de notations ESG de MSCI.

Ces produits sont les premiers ETF sectoriels actions ESG sur le marché européen et ont été catégorisés article 8 en vertu du règlement SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) de l'Union européenne. La gamme d’ETF sectoriels Xtrackers Europe affichait des frais annuels de 0,3 %. Les nouveaux ETF sectoriels Xtrackers Europe avec filtre ESG ont des frais annuels de 0,2 %.

Lire (2 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

DWS : le gérant d’actifs accusé de greenwashing

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Cette semaine, DWS — filiale de gestion d'actifs de Deutsche Bank — se retrouve dans le collimateur des régulateurs américains et allemands. Une ex-responsable du développement durable accuse le groupe d'avoir surévalué le poids de ses encours ESG. Le début d'une régulation plus stricte du marché mondial de la finance durable ?
Lire (4 min.)

Protection des océans : DWS lance le fonds actions Concept ESG Blue Economy

La Rédaction
Le Courrier Financier

DWS Group (DWS) — gérants d’actif mondial — annonce ce mardi 8 juin le lancement de « DWS Concept ESG Blue Economy », un fonds actions mondiales positionné sur la protection des océans. DWS ainsi élargit sa gamme de produits thématiques ESG. L'objectif du fonds, géré par Paul Buchwitz, est de soutenir « l'économie bleue » et d'avoir un impact positif sur les actions durables des entreprises. L'accent est mis sur les actions d'entreprises liées aux écosystèmes côtiers et marins.

Le choix de l'économie bleue

Le potentiel est gigantesque. « L'économie bleue devrait croître deux fois plus vite que l'économie établie d'ici 2030 », déclare Paul Buchwitz à l’occasion de la Journée des océans du 8 juin 2021. Le World Wide Fund for Nature (WWF) estime la valeur mondiale des actifs liés aux océans à environ 24 000 milliards de dollars. Et le « produit océanique brut » annuel des océans — 2 500 milliards de dollars — place l'économie bleue au huitième rang des économies les plus importantes au monde.

En raison de l'importance considérable des océans — non seulement en tant que ressource économique, mais aussi pour la préservation des écosystèmes et de la biodiversité —, l'Initiative financière du Programme des Nations Unies pour l'environnement (UNEP FI), en collaboration avec le WWF, a défini des critères pour cinq secteurs liés aux océans, que le DWS Concept ESG Blue Economy a intégrés dans le processus d'investissement.

Santé de l'écosystème marin

Le fonds se concentre, par exemple, sur les entreprises qui contribuent à freiner l'acidification des océans, à réduire la pollution marine et celles qui s'occupent de l'utilisation durable des ressources marines, des écosystèmes ainsi que de la pêche durable. Il s'agit notamment d'entreprises qui contribuent à la santé des océans et se concentrent sur la consommation durable, la réduction des émissions de carbone et la prévention de la pollution de l'eau. L'accent est mis sur les secteurs dépendant des océans : navigation et ports, énergie et ressources, tourisme côtier et aquaculture.

« Nous investissons dans des entreprises qui proposent des solutions susceptibles d'aider l'économie bleue à devenir plus durable. Toutefois, l'accent est également mis sur les entreprises qui utilisent l'océan comme une ressource et qui ont déjà commencé à transformer leurs modèles d'entreprise ou à démontrer leur volonté d'agir de manière plus durable à l'avenirEn outre, nous entamons un dialogue intensif avec certaines entreprises qui ont un impact négatif évident sur l'océan et qui ne se sont pas encore engagées sur la bonne voie », explique Paul Buchwitz.

Coopération avec le WWF

DWS s'appuie sur un partenariat avec le WWF, la plus grande organisation de protection de la nature indépendante au monde. « Nous sommes impatients de travailler en étroite collaboration pour fixer des objectifs de durabilité concrets et mesurables pour les entreprises et pour les documenter, les examiner et les évaluer régulièrement », déclare Paul Buchwitz. Avec ce partenariat, DWS élargit son engagement en faveur de la protection du milieu marin. Depuis 2019, DWS soutient notamment l'organisation Healthy Seas, qui débarrasse les océans du monde des filets fantômes.

« En réorientant les flux de capitaux vers des modèles économiques durables, l'industrie financière dispose d'un formidable levier qui peut être utilisé pour protéger la planète. En appliquant les critères de conservation marine aux entreprises, nous pouvons travailler avec DWS pour favoriser la transition des industries liées à la mer. Le fait que DWS, en tant qu'investisseur, puisse utiliser ses droits de vote ou attirer l'attention sur l'urgence de la transition des modèles commerciaux non durables dans les discussions avec les décideurs est particulièrement pertinent », ajoute Parisa Shahyari, économiste au WWF.

Lire (4 min.)