DNB AM recrute un nouveau gérant pour DNB Future Waves

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management — investisseur responsable, filiale du premier groupe financier norvégien DNB ASA — annonce ce jeudi 8 juin renforcer son équipe actions avec l’arrivée d'un nouveau gérant pour son fonds actions internationales « DNB Future Waves ». Mikkel Nyholt-Smedseng rejoint Audun Iversen, qui cogère le fonds depuis son lancement.

Investir dans l'économie durable

Le fonds « DNB Future Waves » permet d'investir dans des entreprises qui s'inscrivent dans secteurs d'activité durables — liés à l’économie bleue, l’économie verte, le climat, et la prospérité sociale — en s’appuyant sur les Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU comme cadre de gestion. Mikkel Nyholt-Smedseng remplace Isabelle Juillard-Thompsen, qui a quitté DNB AM fin avril.

« Nous sommes très heureux d'accueillir Mikkel Nyholt en tant que gestionnaire du fonds DNB Future Waves. Il apporte une expérience précieuse à l'équipe — à la fois en tant qu'analyste des énergies renouvelables de Carnegie à Oslo et en tant qu'analyste d'investissement du hedgefund madrilène EQMC », déclare Knut Hellandsvik, Directeur de la gestion actions chez DNB AM.

Focus sur le parcours de Mikkel Nyholt-Smedseng

DNB AM recrute un nouveau gérant pour DNB Future Waves
Mikkel Nyholt-Smedseng

Mikkel Nyholt-Smedseng est titulaire d'un Master en Finance & Investissement, obtenu en 2012 à l’Université d'Édimbourg et d'un Bachelor en gestion d’entreprise de l'Université de Bergen (Norvège) obtenu en 2011. Pendant neuf ans (2013-2021), il travaille en tant qu'analyste chez Carnegie à Oslo (Norvège) sur les secteurs des clean techs, des énergies renouvelables, de la pisciculture, du bâtiment et de la construction, ainsi que la santé.

En 2020, Mikkel Nyholt-Smedseng a été nommé meilleur analyste dans les énergies renouvelables en Norvège, par le magazine économique Kapital. De 2021 à 2023, il travaille pour le hedge fund Alantra EMQC à Madrid (Espagne), où il occupe la fonction d’analyste couvrant le secteur de l'énergie ainsi que les pays nordiques. En 2023, il rejoint DNB AM.

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SFDR : DNB AM passe son fonds Future Waves en article 9

La Rédaction
Le Courrier Financier

Investisseur responsable depuis plus de trente ans, DNB Asset Management — société de gestion nordique, détenue à 100% par DNB ASA — annonce ce mercredi 11 janvier la mise à jour du statut SFDR de leurs fonds et notamment le rehaussement de « DNB Future Waves » en article 9 (précédemment article 8).

La vague du développement durable

Depuis le lancement du fonds à l’été 2021, les gérants, Isabelle Juillard Thompsen et Audun Wickstrand Iversen ont appliqué un processus strict basé sur de nombreux critères ESG et un cadre d’investissement basé sur les Objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU. Or, étant donné la politique SFDR conservatrice de la société de gestion norvégienne, le fonds avait été classifié article 8 au démarrage du fonds.

Avec l’entrée en vigueur du deuxième volet de la SFDR au 1er janvier 2023, DNB AM a mis à jour son prospectus de sa SICAV Luxembourgeoise. Cette mise à jour a permis une reclassification de certains fonds, dont DNB Future Waves. Aucune déclassification des fonds DNB est à noter à ce jour. La nouvelle version du prospectus mentionne le pourcentage d’investissements durables ; les indicateurs de durabilité ; les éléments engageants et le pourcentage d’alignement à la taxonomie, selon la définition de la réglementation.

Investir dans l'économie bleue

« DNB Future Waves » est un fonds actions monde investi dans des entreprises qui contribent à la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU, notamment dans les domaines de l’océan et de l’environnement. Le thème principal du fonds est l’économie bleue (environ 40 %) telle que définie par l’OCDE ; les secteurs ayant un lien direct ou indirect avec les océans comme l’aquaculture, le transport maritime, les ressources bio-marines ou les énergies renouvelables offshore.

Trois autres thèmes — également liés à l’économie bleue — sont mis en avant dans le fonds : l’économie verte, le climat et la prospérité sociale. Au travers de ces 4 thèmes, le fonds s’expose à 11 ODD : (6) Accès à l’eau propre (14) Faune et flore aquatique (9) Innovation & infrastructure (11) Villes durables (12) Consommation responsable (15) Faune et flore terrestres (7) Energies renouvelables (13) Lutte contre le changement climatique (2) Lutte contre la faim (3) Accès à la santé et (4) Accès à l’éducation.

Naviguer et maintenir le cap

« Depuis le lancement de DNB Future Waves, nous avons été très exigeants dans notre travail de gestion, et avons pu faire cette reclassification notamment grâce à la création de notre propre base de données ESG LAB en 2021, un outil indispensable afin de pouvoir gérer et analyser les données », explique Isabelle Thompsen, gérante de DNB Future Waves

« Ce relèvement tant attendu nous permettra d’être plus cohérents dans notre communication et de répondre aux demandes de nombreux investisseurs. Dans un contexte où les déclassifications sont nombreuses, nous sommes fiers de pouvoir ajouter un deuxième fonds article 9 à notre gamme, après DNB Renewable Energy, qui préserve son statut », ajoute Marta Oudot, Directrice Europe Francophone de DNB AM.

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Impact climatique : le fonds DNB Renewable Energy prend en compte les émissions évitées

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management — détenue à 100 % par DNB ASA, première institution financière norvégienne — publie ce mardi 14 décembre son deuxième rapport sur l’impact généré par les investissements réalisés par le fonds DNB Renewable Energy en termes d’émission de CO2. L’approche retenue, en partenariat avec le spécialiste ISS-ESG, est celle des émissions évitées.

Elle établit les émissions qui auraient été libérées si une action ou une intervention particulière n'avait pas eu lieu, et qui peuvent apparaître tout au long de la chaîne de valeur. Par exemple, pour une entreprise qui construit une ferme solaire, les émissions évitées représentent la différence d’empreinte carbone, pour une production électrique équivalente, entre le mix électrique mondial et celui de la ferme solaire.

Composition du portefeuille

Les résultats du rapport montrent des émissions potentielles évitées de 1 480 tonnes de CO2 par million d’euros investi (PAE/Eurm) contre une empreinte carbone de 246 tonnes de CO2 par million d’euros. Cela signifie que le portefeuille DNB Renewable Energy évite environ 6 tonnes de CO2 pour chaque tonne qu’il émet. Comparé au premier rapport publié en 2020, il est important de souligner que le PAE/Eurm investi a diminué entre 2020 et 2021.

Deux raisons à cela. La première est la revalorisation des actions environnementales et du fonds au cours des douze derniers mois. La seconde est la modification de la composition du portefeuille de DNB Renewable Energy, à la suite des changements dans l’évaluation du couple risque/rendement. Il est alors encourageant de constater que les modifications apportées au portefeuille ont conduit à une réduction considérable des émissions directes générées par les entreprises (dites « Scope 1 »), des émissions indirectes liées notamment à la production des énergies (dites « Scope 2 ») et celles provenant de toute la chaîne de valeur (dites « Scope 3 ») du fonds, occasionnant une augmentation du PAE net de 4 fois l'an dernier à 5 fois cette année. 

Prendre en compte le Scope 3

En termes de secteurs, les dix plus importants contributeurs aux émissions évitées représentent 81 % du total des émissions évitées du portefeuille. Dans le détail, les secteurs du solaire et de l’éolien ressortent en tête. Le secteur des matériaux se classe troisième. Cela s’explique en partie parce que les matériaux produits par certaines entreprises sont nécessaires à la transition énergétique. À l’inverse, la production d’électricité affiche un PAE faible. Plusieurs entreprises de ce secteur sont en phase de transition vers une économie à faibles émissions de carbone. 

« L’empreinte carbone, qui consiste à mesurer les émissions de gaz à effet de serre d’une entreprise, ne suffit pas à donner une vision complète des efforts consentis par celle-ci pour réduire son impact sur le climat. En outre, les émissions Scope 3 sont complexes à mesurer correctement et pas toujours prises en compte dans leur intégralité, pouvant conduire à sous-estimer les risques de transition auxquels est confrontée l'entreprise sous-jacente et soulever des questions sur la validité de son profil d'entreprise verte. Notre objectif est de faire de l’engagement sur 80 % du portefeuille, en utilisant les science based targets », explique Christian Rom, Gérant du fonds DNB Renewable Energy. 

Vers le développement durable ?

L’approche de l’équipe de DNB Renewable Energy se veut la plus exhaustive possible. Pour éviter des dommages irréversibles à la planète, le GIEC estime urgent de réduire de moitié les émissions mondiales d'ici 2030 et d’atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Avant de procéder à toute analyse et évaluation financière fondamentale des actions, l’équipe de gestion du fonds, en collaboration étroite avec celle dédiée à l’analyse ESG, étudie l'angle environnemental de l'entreprise et cherche à comprendre si son activité est significativement motivée par la mise en place d'un meilleur cadre environnemental ou non. Le résultat aboutit à un très large univers d'entreprises exposées à la thématique environnementale.

« Ce deuxième rapport d’impact souligne l’engagement fort de DNB de poursuivre sa stratégie en investissements durables et met en lumière le focus de DNB Renewable Energy sur l’identification des opportunités climatiques. Nous espérons qu’il permettra également à nos investisseurs d’avoir une bonne lisibilité de la contribution du fonds aux Objectifs de Développement Durables de l’ONU pour répondre au mieux à leurs attentes. Notre compréhension du thème environnemental n'est pas statique et continuera d'évoluer au fil du temps à mesure que les attentes, et la réglementation se développent », ajoute Marta Oudot, Directrice de la distribution en France chez DNB AM.

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Finance durable : DNB AM lance son fonds DNB Future Waves, dédié à l’économie bleue et verte

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM)asset managers nordiques, avec une gamme de produits thématiques et nordiques — annonce ce mardi 12 octobre poursuivre le développement de solutions ESG avec le lancement de son fonds « DNB Future Waves ». Axé sur l’économie bleue et verte, il se concentre sur des investissements répondant à 11 des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies.

DNB Future Waves vise à la fois un positionnement différencié sur des thèmes durables et une performance pérenne supérieure à celle du marché. Par ce biais, le fonds entend soutenir les entreprises soucieuses de développer des solutions de long terme. Cogéré par Isabelle Juillard Thompsen et Audun Wickstrand Iversen, « DNB Future Waves » met l’accent sur des secteurs d'activité liés à l’économie bleue (37 %), l’économie verte (31 %) le climat (19 %) et la prospérité sociale (12 %). 

Pourquoi l'économie bleue ?

« L’économie bleue recouvre une multitude de secteurs qui ont un lien direct, ou indirect avec les océans comme la pêche, le transport maritime, les ressources biomarines ou les énergies renouvelables offshore. Si l’ensemble des océans était un pays, ce serait la 7e économie mondiale avec un PIB de 2 500 milliards de dollars », déclare Isabelle Juillard-Thompsen, co-gérante de « DNB Future Waves ».

« Couvrant 71 % de la surface du globe, ils produisent 50 % de l’oxygène que nous respirons et absorbent 21 % des émissions mondiales de CO2. Les océans représentent aussi le deuxième pourvoyeur de nourriture au monde et la principale source de protéines pour près de trois milliards de personnes. L'OCDE estime que l'industrie maritime peut croître deux fois plus vite que l'économie mondiale d'ici 2030 », ajoute-elle.

Place centrale de l'Océan

De son côté, l’économie verte embrasse aussi un large spectre — de l’agriculture ou des infrastructures durables, à l’innovation ou l’économie circulaire. Le thème du climat se concentre sur les énergies renouvelables et abordables, l’efficacité énergétique et l’électrification. Enfin, celui de la prospérité sociale touche tant à l’alimentation qu’à la santé ou à l’éducation. Présent sur l’ensemble de ces thèmes, « DNB Future Waves » est investi sur les marchés actions monde avec un focus particulier sur les pays nordiques, proches de la thématique de l’Océan notamment. 

« De par sa diversification, DNB Future Waves propose une approche globale aux défis contemporains. Il nous a semblé important de favoriser une approche multithématique afin d’aborder les sujets liés aux ODD dans son ensemble, tout en assurant une place prépondérante au sujet de l’Océan, une thématique qui n’a pas été assez abordée jusque-là. Par ailleurs, ses caractéristiques répondent à une demande croissante des investisseurs pour des fonds combinant durabilité et rendement », déclare Marta Oudot, directrice distribution en France de DNB AM.

L'outil DNB ESG LAB

En investissement responsable, la disponibilité des données et leur analyse sont devenues fondamentales. DNB AM a développé son propre ESG LAB dont l'objectif est de collecter, structurer et analyser des données, puis de faciliter leur intégration dans le processus d’investissement. ESG LAB permettra de mesurer l'alignement des entreprises avec les ODD. Afin de faciliter la collecte de data sur des sujets complexes tels que l’Océan ou la gestion de l’eau, DNB AM a noué des partenariats avec le milieu académique — comme le Columbia University aux États-Unis. 

Outil indispensable à la stratégie d’investissement, l’ESG LAB a été un maillon essentiel à la construction et à la sélection des valeurs du fonds DNB Future Waves. Sur la base de plus de 1 280 sociétés alignées sur les ODD et répondant à des critères ESG, sa méthodologie permet de réduire l'univers d’investissement à 180 valeurs. Au final, DNB Future Waves est concentré sur un spectre de 45 à 75 sociétés sur lesquelles l’équipe de gestion a de fortes convictions. Le fonds est géré activement (« active share » 80 %) avec un horizon d’investissement long terme.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Towards Sustainability : DNB AM obtient le label pour son fonds DNB Nordic Equities

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM) — filiale du premier groupe financier norvégien, DNB ASA — annonce ce jeudi 8 juillet avoir obtenu le label belge Towards Sustainability pour son fonds « DNB Nordic Equities ». Ce fonds actions est investi dans les pays Nordiques (Suède, Norvège, Danemark, Finlande). Objectif, générer de l’alpha à long terme. Le fonds affiche une performance annualisée de 18,26 % sur 3 ans.

Surperformance à long terme

Le fonds applique une approche stricte en matière d’exclusions en éliminant de son portefeuille les entreprises dans les secteurs du tabac, l’armement controversé et conventionnel, la pornographie, le charbon, les énergies fossiles, l’alcool et les jeux d’argent, entre autres.

La gestion est assurée par Øyvind Fjell et son équipe. Le fonds applique également des filtres « d’inclusion » pour intégrer dans le portefeuille des entreprises vertes, notamment dans les segments des énergies renouvelables, les biocarburants et l’économie circulaire.

« Les marchés nordiques offrent de belles entreprises qui savent innover en matière de développement durable. Le réchauffement climatique y est un enjeux pris très au sérieux depuis longtemps, ce qui nous permet d’avoir un large choix d’entreprises matures pour appliquer à la fois notre analyse financière et nos filtres ESG et ainsi générer une surperformance à long terme », indique Øyvind Fjell.

Mutation de la gestion ESG

« Dans un contexte où la gestion ESG et la règlementation autour des investissements responsable est en pleine mutation, les investisseurs ont plus que jamais besoin d’outils permettant une meilleure lisibilité et comparabilité. En tant qu’asset manager nous devons faciliter pour nos clients la comparaison et la classification des produits d’investissement », commente Marta Oudot, Directrice de la Distribution France.

Les labels ISR garantissent à l’investisseur qu’un contrôle externe a été fait sur le processus ESG du fonds. Nous sommes ravis que DNB Nordic Equities ait été attribué le label Towards Sustainability, c’est la preuve d’un processus très rigoureux et des convictions sur l’investissement responsable que nous portons chez DNB AM », commente Marta Oudot, Directrice de la Distribution France.

DNB AM est l’un des pionniers de l'investissement responsable. Dès 1988, la société d'investissement a introduit des critères d'investissement sociaux, éthiques et environnementaux qui sont appliqués à tous les fonds d'investissement. DNB AM a déjà obtenu le label ISR allemand FNG et le Luxflag Environment pour d’autres fonds de leur gamme ; DNB Nordic Equities est le premier à obtenir le label Towards Sustainability.

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Gestion thématique : DNB Asset Management lance DNB Disruptive Opportunities

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset management (DNB AM) — filiale du premier groupe financier norvégien DNB ASA — annonce ce lundi 11 janvier poursuivre l’élargissement de sa gamme thématique. DNB AM vient d’enregistrer en France son nouveau fonds, DNB Disruptive Opportunities.

Investir dans les mégatendances

Les tendances mondiales — telles que le vieillissement de la population, la transformation numérique et le changement climatique — créent des opportunités d’investissement. La crise sanitaire a accentué le besoin d’innovation et de technologie.

Elle a aussi servi d'accélérateur aux transformations à l'œuvre dans beaucoup de domaines — comme le travail, la consommation ou la perception du changement climatique. Le fonds DNB Disruptive Opportunities cherche ainsi à s’exposer à cinq thématiques clés qui traduisent ce développement : la connectivité, la mobilité urbaine, la démographie, la révolution de la machine et le Pacte Vert.

Compléter la gamme thématique

DNB Disruptive Opportunities est géré par Audun Wickstrand Iversen, qui a rejoint DNB AM en 2019, après de nombreuses expériences en tant qu’analyste, gérant, CEO et membre de conseils d’administrations des entreprises norvégiennes cotées. Il avait déjà travaillé au sein du groupe DNB entre 1996 et 2007.

Le fonds vient compléter la gamme thématique existante de DNB AM, avec notamment les fonds DNB Technology et DNB Renewable Energy, déjà enregistrés en France. DNB Disruptive Opportunities compte déjà 1 an d’historique au sein de la SICAV Luxembourgeoise DNB Fund, et affiche une performance de 53,23 % en 2020.

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ESG : DNB AM développe son propre outil d’analyse

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM) — gestionnaires d'actifs de la région nordique — annonce ce mercredi 4 novembre renforcer son contrôle de qualité des émetteurs sur le marché obligataire en termes de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Grâce à la mise en place d’une notation interne, la société de gestion entend les inclure de manière systématique dans son analyse et sa sélection des émetteurs.

« Nos investisseurs réclament une meilleure lisibilité de ces critères dans l'analyse des entreprises. Elle est dautant plus importante sur le fixed income, longtemps resté en marge de lESG, et a fortiori sur le marché du crédit nordique qui manque aujourdhui de données sur le sujet », explique Marta Oudot, Directrice de la distribution en France chez DNB AM.

Favoriser la transparence ESG

Le manque de transparence sur ces facteurs peut, à terme, altérer la qualité de crédit des émetteurs. Un constat d’autant plus vrai pour les petites et moyennes entreprises (PME). Contrairement aux plus grandes, elles n'ont pas toujours les ressources nécessaires pour publier des rapports sur le sujet et ne sont pas couvertes par des fournisseurs de données ESG tiers.

De fait, il est souvent difficile pour un gérant d’actifs comme DNB AM, qui finance autant les grandes que les petites et moyennes entreprises sur le marché norvégien, d’avoir accès aux évaluations de la gestion des risques ESG, notamment des plus petits émetteurs.

« Nous sommes fermement convaincus que la prise en compte des critères ESG par les entreprises est capitale. Les efforts fournis dans ce sens seront dune importance cruciale dans les années à venir en termes de compétitivité, de profitabilité et de solvabilité. Il nous apparaît essentiel d'avoir une vision plus complète de la gestion de ces facteurs de risque au sein des entreprises que nous finançons », déclare Svein Aage Aanes, Directeur de la gestion obligataire chez DNB AM.

Mesurer les progrès obtenus

DNB AM a développé son propre système de notation ESG afin de pallier ce manque de transparence. Pour ce faire, ses équipes fixed income et ESG ont défini un cadre de notation pour évaluer les risques et opportunités ESG par secteur. Celui-ci a été élaboré à la fois avec des experts de chaque secteur, des entreprises sélectionnées mais aussi à l’aide de sources telles que le Sustainability Accounting Standards Board (SASB).

Sur cette base, DNB AM a envoyé aux entreprises des questionnaires spécifiques à leur secteur, en tenant compte aussi des particularités du marché norvégien. Les émetteurs obligataires ont ainsi été notés sur la qualité et la transparence de leur travail ESG dans les secteurs de la banque, des services publics et de l'immobilier. Les notes portent tant au niveau global de l’entreprise que sur chaque branche de leur activité.

Ces notes seront alors intégrées aux systèmes de gestion de portefeuille et prises en compte dans l’évaluation globale du risque de crédit des entreprises. Les données et les informations collectées constituent, par ailleurs, des éléments tangibles de dialogue avec les entreprises dans lesquelles DNB AM investit et permettront de mesurer de façon concrète les progrès réalisés dans le temps.

Des reportings plus exigents

DNB AM souligne l’intérêt d’une telle démarche en prévision de nouvelles obligations réglementaires européennes relatives aux déclarations des investisseurs. Il en est de même pour les émetteurs qui devront faire face à des exigences accrues en matière de reporting.

À ce titre, les propositions sur la révision de la Directive européenne sur l’information extra- financière ont fait l’objet d'une consultation pour laquelle DNB AM a soumis ses commentaires par l’intermédiaire de l'Association norvégienne des fonds communs de placement (VFF).

A notamment été proposé que le seuil de déclaration, jusqu’alors réservé aux entreprises de plus de 500 salariés, soit abaissé à celles de plus de 250 salariés. En-dessous de ce seuil, les sociétés pourraient également être astreintes à réaliser et publier un rapport moins détaillé.

Fort de sa position sur le marché obligataire norvégien, DNB AM entend par cette initiative encourager les entreprises à davantage de transparence en matière d’ESG et contribuer à terme à l’établissement de normes. Une démarche qui s’inscrit dans un cadre d’échange avec les émetteurs afin de les influencer positivement dans l’amélioration de leurs pratiques.

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DNB AM nomme le Lead Manager de son fonds DNB Renewable Energy

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (AM) — société de gestion d'actifs norvégienne, filiale à 100 % de DND ASA — annonce ce mardi 11 août la nomination d'un nouveau Lead Manager pour son fonds climat de DNB Asset Management (AM). Christian Rom (38 ans) prend immédiatement ses fonctions.

Il était jusqu'ici co-gérant de DNB Renewable Energy aux côtés de Jon Sigurdsen. Ce dernier quitte le gérant d'actifs scandinave afin de se consacrer à la gestion de ses propres actifs. Dans ce contexte, DNB AM a lancé un recrutement afin de renforcer l’équipe de gestion. La philosophie d'investissement et le process de gestion du fonds resteront inchangés.

Focus sur le portefeuille de Christian Rom

Christian Rom est diplômé de la Norwegian School of Management. Durant sa carrière, il travaille en tant qu'analyste actions sell-side chez Carnegie Securities — poste dans le cadre duquel il se spécialise dans le domaine des énergies renouvelables. Il rejoint DNB AM en 2010, où il s'implique dans la direction stratégique et la gestion du fonds DNB Renewable Energy.

En 2011, Christian Rom prend la responsabilité du sous-secteur de la production d'électricité au sein de l'équipe. Depuis, le ratio d'information s'est amélioré de 0,3 %. En 2015, il assume une responsabilité supplémentaire du secteur éolien.

Depuis 2017, ce segment de portefeuille a réalisé une augmentation à deux chiffres de la performance relative — par rapport aux sous-indices et un écart-type inférieur d’1 % dans ses segments par rapport à l'ensemble du portefeuille. En conséquence, son coverage est passé de 25 % à plus de 40 % en 3 ans.

Les résultats de sa gestion à impact ont été récemment publiés dans une étude (en anglais) approfondie, menée en partenariat avec la société ISS-ESG. Christian Rom montre dans cette étude comment l’impact environnemental des investissements peut être mesuré grâce à l’approche des émissions évitées.

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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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DNB Asset Management mesure l’impact de son fonds climat

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (DNB AM) — société de gestion de DNB ASA, ex DnB NOR, la première banque norvégienne — publie ce lundi 15 juin un rapport (en anglais) sur l’impact généré par les investissements du fonds « DNB Renewable Energy » en termes d’émissions CO2. La méthodologie choisie — celle des « Emissions évitées » — a été établie en collaboration avec ISS ESG. Selon le rapport, les émissions évitées du fonds sont cinq fois plus importantes que l'empreinte carbone.

Depuis 30 ans, DNB AM s’attaque au défi du changement climatique, notamment à travers son fonds « DNB Renewable Energy ». Ce fonds investit dans des entreprises qui favorisent l'économie décarbonée. L’efficacité énergétique et de nouvelles techniques réduisant les émissions industrielles de gaz à effet de serre font partie des domaines favorisés par le fonds.

Focus sur les « Emissions évitées »

Pour quantifier et mesurer l’impact de tels investissements, l’industrie financière s’est longtemps fiée à l’empreinte carbone, qui mesuree les émissions directes générées par les entreprises (émissions dit « scope 1 »), ainsi que les émissions indirectes, provenant entre autres de l’électricité achetée (« scope 2 »). Compte tenu des émissions indirectes provenant de toute la chaîne de valeur (« scope 3 »), cette analyse reste incomplète.

C’est pourquoi, DNB AM a décidé de lancer le projet de calcul des « émissions évitées » qui consiste à démontrer la quantité d’émissions évitées pour chaque million d’euros investi. Il s’agit « des émissions qui auraient été libérées si une action ou une intervention particulière n'avait pas eu lieu » et peuvent apparaître tout au long de la chaîne de valeur. DNB AM a fait appel à ISS ESG pour calculer et analyser le portefeuille.

Matériaux et transition énergétique

Le résultat de l’analyse montre des émissions évitées de plus de 2 800 tonnes de CO2 par million d’euros, soit cinq fois plus que l'empreinte carbone du fonds, ou l’équivalent de 1 819 voitures de moins sur la route pendant un an. L'étude mesure également l’impact sur plusieurs des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies, ce qui reflète les objectifs climatiques et environnementaux du fonds.

L'éolien et le solaire apparaissent comme les meilleurs contributeurs aux émissions évitées. Néanmoins, le secteur des matériaux qui arrive en deuxième position. Autrefois, il était pénalisé par l'intensité carbone de la production de matériaux. Mais ces matériaux sont devenus essentiels dans la transition énergétique. « Le secteur est également fondamental en termes de contribution à une utilisation efficace des ressources et à l'économie circulaire », souligne Christian Rom, gérant du fonds.

Opportunités pour DNB Renewable Energy

Le rapport souligne aussi que « DNB Renewable Energy » devrait bénéficier des mesures post Covid-19, notamment le plan de relance de l'UE de 750 milliards d'euros annoncé en mai. La reconstruction de l'économie après la pandémie doit soutenir la transition énergétique. « Cela permettra de revitaliser l'économie et de garantir des emplois, tout en nous guidant vers l'objectif de 1,5 degrées de l'accord de Paris », commente Christian Rom. Cet objectif exige une réduction annuelle de 6 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre entre 2020 et 2030, selon les estimations du IPCC.

Le rapport a été préparé par ISS-ESG en étroite collaboration avec les gérants de « DNB Renewbale Energy » Jon Sigurdsen et Christian Rom, ainsi que l’équipe ESG de DNB AM chapoté par Janicke Scheele. Le fonds « DNB Renewable Energy » est un fonds actions monde, dont l’objectif principal consiste à générer une croissance du capital à long terme, en investissant dans les énergies renouvelables et la technologie verte. Le fonds s’appuie sur une approche de screening positif et une analyse financière rigoureuse.

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DNB Asset Management lance son fonds High Yield nordique en France

La Rédaction
Le Courrier Financier

DNB Asset Management (AM) — société de gestion norvégienne — annonce ce mardi 14 mai l’enregistrement de son fonds haut rendement nordique, DNB Fund High Yield, sur le marché français. Domicilié au Luxembourg, le fonds affiche un encours de 287 millions d'euros. L'ensemble de la stratégie haut rendement comprend également un fonds de droit norvégien ainsi que des mandats, pour un poids total de près de 1,6 milliard d' euros.

Une gamme de fonds complète sur le marché français

DNB AM — filiale de la principale banque Norvégienne DNB ASA — organisait le 9 avril dernier sa première conférence à Paris en présence d’investisseurs et des médias. La société de gestion compte près de 63 milliards d'euros d’actifs sous gestion. DNB AM applique une intégration des critères ESG au service de la gestion de toutes ses stratégies.

Fin 2018, DNB AM a recruté Marta Oudot comme Responsable de la distribution pour développer son activité dans l'Hexagone. A la même période, l'entreprise a enregistré ses fonds actions sur le marché français. Celle de DNB Fund High Yield permet à DNB AM de proposer une gamme de fonds complète à ses clients en France.

Répondre à un besoin de diversification des portefeuilles

« Nous constatons un fort besoin de diversification des portefeuilles taux et diversifiés, au rythme de l’accroissement de la règlementation et dans un environnement prégnant de taux bas. Les obligations High Yield nordiques répondent parfaitement à ce besoin. Elles proposent un rendement plus élevé que dans la zone euro tout en ayant une duration structurellement faible » explique Marta Oudot.

Dans le cadre de son développement en France, DNB AM entend tirer parti de sa place d'acteur de premier plan sur les marchés nordiques. Fort d'une équipe de 14 spécialistes de taux, la société de gestion est très bien placée pour rendre les marchés scandinaves accessibles aux investisseurs, conclut la Responsable de la distribution pour le marché français.

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