Cybersécurité : Tikehau Capital lance le nouveau millésime de Brienne, avec un closing à 200 millions d’euros

La Rédaction
Le Courrier Financier

Tikehau Capital — groupe mondial de gestion d'actifs alternatifs — a annoncé ce mercredi 25 octobre le lancement de Brienne, le nouveau millésime de sa stratégie de cybersécurité en private equity, qui s'appuie sur le succès du fonds prédécesseur. Avec 200 M€ levés pour le premier closing, cette stratégie constitue d‘ores et déjà le plus grand véhicule d’investissement dédié à la sécurité numérique en Europe.

Ce nouveau fonds saisira les opportunités en Europe et de soutenir des entreprises qui évoluent dans le secteur B2B, ayant un important potentiel de développement au niveau mondial. Il vise à investir des tickets de 10 M€ à 50 M€ (réinvestissements inclus), afin d’offrir un soutien significatif aux entreprises capables de redessiner le paysage de la cybersécurité.

200 millions d'euros d'engagements

Brienne III — le précédent millésime de la stratégie de capital-investissement en cybersécurité de Tikehau Capital lancé en juin 2019 — avait réussi à lever 175 M€ et a réalisé des investissements stratégiques dans 15 entreprises de l'écosystème cyber européen. Le lancement de ce millésime souligne l'engagement long terme de Tikehau Capital à investir dans des technologies innovantes et à renforcer la sécurité numérique à grande échelle.

Avec 200 M€ d'engagements en capital déjà obtenus auprès d'un large éventail d'investisseurs institutionnels, stratégiques et privés, cette stratégie témoigne de sa résilience. « Avec l'évolution continue du paysage numérique, la nécessité d'une cybersécurité robuste n'a jamais été aussi cruciale. L'augmentation constante des menaces et des attaques cybernétiques affecte des entreprises de toutes tailles et de divers secteurs, avec une attention particulière portée aux industries critiques », indique Tikehau Capital dans un communiqué.

Cybersécurité en Europe

« Depuis le lancement de notre stratégie de private equity en cybersécurité en juin
2019, le secteur a considérablement gagné en maturité, entraînant des exigences financières
croissantes de la part des entreprises évoluant dans cette industrie. Le dernier véhicule
d'investissement de cette stratégie représente le fonds le plus important en Europe dédié à la
cybersécurité
», déclare Marwan Lahoud, Président du Private Equity de Tikehau Capital.

« Nous restons concentrés sur les investissements en Europe, tout en étudiant attentivement les opportunités au-delà du continent. Notre engagement vis à vis de la sécurité numérique va au-delà de l'investissement financier. Nous avons l’ambition d’être à l'avant-garde de l'innovation dans le domaine de la cybersécurité. En tant qu'investisseur actif, nous voulons rester proche des dirigeants et les aider à développer leurs activités en tirant parti du réseau international de Tikehau Capital », ajoute-il.

Lire (3 min.)

Cybersécurité : l’ACPR publie ses recommandations à l’égard des assureurs

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) réalise depuis 2015 des enquêtes par questionnaire dans lesquelles les organismes d’assurance autoévaluent la gestion de leurs systèmes d’information (SI) et de leur cybersécurité. Ce jeudi 23 février, l'ACPR publie les résultats de l’enquête menée en 2022, à laquelle 239 organismes ont répondu.

Ce document témoigne d’une prise de conscience des enjeux liés à la cybersécurité. Néanmoins, des progrès doivent encore être accomplis afin d’accroître leur résilience face au risque cyber et anticiper certains travaux dans la perspective de l’entrée en application en janvier 2025 du règlement DORA.

Trois recommandations

Les carences que révèle cette auto-évaluation sont observées lors des contrôles sur place réalisés par l’Autorité. Notamment, les organismes doivent poursuivre leurs efforts afin de : 

  • systématiser l’analyse des risques et des enjeux de sécurité des SI liés à l’utilisation de solutions externes et plus particulièrement des services en nuage (cloud) dont le niveau réel de sécurisation n’est pas mesuré et le dispositif de réversibilité n’est pas toujours prévu. Le pilotage de la sous-traitance doit également être renforcé ;
  • soumettre régulièrement le plan de continuité d’activité à des tests éprouvant sa robustesse et de réaliser des exercices de simulation de gestion de crise cyber ; 
  • adapter le système de contrôle interne afin que les trois lignes de défense prennent le risque cyber pleinement en charge. À cet égard, la fonction de sécurité de l’information doit jouir de l’indépendance suffisante vis-à-vis des fonctions opérationnelles en matière de technologies de l’information et de la communication et doit disposer des informations ad hoc pour mesurer, surveiller et piloter le risque cyber et rendre compte de l’état de la sécurité de l’information de l’entreprise aux instances dirigeantes. 
Lire (2 min.)

Gestion thématique : Cybersécurité & IA, meilleures alliées

Rolando Grandi
La Financière de l'Echiquier
Les cyberattaques contre les entreprises sont devenues récurrentes, ce qui fait de la cybersécurité un enjeu majeur de compétitivité. Comment adresser cet univers d'investissement ? Le point avec Rolando Grandi, CFA, Gérant d’Echiquier Artificial Intelligence chez La Financière de l'Echiquier (LFDE).
Lire (4 min.)

Le KYC des banques et la lutte contre la fraude financière

Cyril Drianne
Dans la lutte contre la criminalité financière et le blanchiment d'argent le Know Your Customer (KYC) est devenu indispensable. Qu'est-ce que le KYC ? Les éclairages de Cyril Drianne, Country Manager France chez Electronic IDentification.
Lire (5 min.)

Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

Lire (3 min.)

La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

Lire (2 min.)

Entreprises : la cybersécurité, nouvel enjeu stratégique

Benoît Peloille
VEGA IM
La guerre en Ukraine a entraîné une série de sanctions économiques envers la Russie. Du côté des entreprises, le conflit remet la cybersécurité en pleine lumière. Comment aborder ce risque stratégique ? Les explications de Benoît Peloille, Stratégiste et Gérant chez VEGA IM.
Lire (3 min.)

Cyberassurance : la CNCEF Assurance salue le rapport parlementaire

La Rédaction
Le Courrier Financier

La CNCEF Assurance — association de représentation des courtiers en assurance et de leurs mandataires, présidée par Stéphane Fantuz — annonce ce mercredi 20 octobre avoir pris connaissance du rapport parlementaire de la députée LREM Valéria Faure-Muntian (3e circonscription de la Loire) dédié à la cyberassurance en France.

L'association salue les 20 propositions du rapport sur la cyberassurance —dont la création d’une nouvelle branche d’assurance dédiée ; le développement de solutions pour les PME et les collectivités ; la création d’un pôle de cyberdéfense offensif ou encore un partenariat public-privé. « Il était nécessaire de clarifier et définir le champ du risque cyber ; ce qui permettra de déboucher sur une législation efficace », explique Stéphane Fantuz, Président de la CNCEF Assurance. 

Dynamiser le secteur

L’association y voit également la possibilité de dynamiser le marché de la cyberassurance en France, jusqu’ici trop discrétionnaire. L’occasion pour les intermédiaires de se former sur le sujet, de monter en compétences et de développer la croissance de leurs cabinets. « Nous voyons dans ces travaux la suite logique de la Loi sur la régulation du courtage, notamment mieux accompagner les professionnels face aux défis des nouveaux modes de distribution numérique », plaide le Président de la CNCEF Assurance. 

Enfin, la CNCEF Assurance — qui a été auditionnée lors des travaux préparatoires de la députée — estime que ce rapport contribuera à la résilience de l’économie française, dans la mesure où les entreprises et collectivités ne sont pas encore suffisamment préparées et assurées. Elle estime que les courtiers et leurs mandataires seront les professionnels experts pour les conseiller et les protéger dans les meilleures conditions. 

Lire (2 min.)

Externalisation : l’ACPR rappelle les parties prenantes au respect de leurs obligations

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans un contexte de hausse du recours à des prestataires externes pour l’exécution de prestations présentant un caractère essentiel ou critique au sens de la réglementation prudentielle, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) rappelle ce jeudi 22 juillet aux organismes qu’elle supervise leurs obligations en la matière — et notamment la nécessité de contrôler suffisamment les prestations qu’ils ont choisi d’externaliser.

Ces dernières années, un nombre croissant d’acteurs du secteur de la banque, de l’assurance ou des paiements, a confié à des prestataires externes l’exécution de prestations présentant de plus en plus souvent un caractère essentiel ou critique au sens des règlementations prudentielles en vigueur dans ces secteurs. Par exemple, l’externalisation de prestations informatiques essentielles — dont le recours à des services de « cloud » —, de fonctions de contrôle ou divers traitements de « back-office ».

Veiller aux contrôles appropriés

A l’occasion de ses contrôles, l’ACPR a pu constater que les organismes qu’elle supervise n’assuraient pas toujours un contrôle approprié des prestataires externes auxquels ils recourent. De même, elle a eu à connaître des situations où les organismes pouvaient se heurter à des difficultés pour accéder à toutes les informations relatives aux fonctions et activités sous-traitées.

Le principe général qui structure le recours à l’externalisation est que les organismes qui externalisent des prestations essentielles ou critiques demeurent pleinement responsables du respect de toutes les obligations qui leur incombent. En particulier, l’externalisation de prestations essentielles ne saurait conduire à un affaiblissement du système de gouvernance, de la maîtrise du risque opérationnel, de la continuité de l’activité, ni même de la capacité de contrôle du superviseur.

De l'organisme au prestataire

L’externalisation requiert donc la conclusion d’un contrat écrit entre l’organisme et son prestataire définissant clairement les droits et obligations des deux parties et la définition par l’organisme d’une politique formalisée de contrôle de ses prestataires externes. Il est attendu des prestataires auxquels recourent les organismes supervisés qu’ils se conforment aux procédures définies par ces derniers. Ceci concerne l’organisation et la mise en œuvre du contrôle des services fournis.

Cela implique que les organismes puissent, chaque fois que cela est nécessaire, avoir accès, dans des conditions qui leur permettent d’effectuer leurs contrôles avec diligence ou de les faire effectuer par des auditeurs extérieurs, le cas échéant sur place, à toutes les informations sur les services mis à leur disposition. En particulier, les prestataires ne sauraient entraver la conduite de travaux d’audit en leur sein en imposant des conditions ou des restrictions spécifiques.

L’autorité de contrôle peut de plus demander à avoir un accès direct aux informations d’un sous-traitant voire diligenter chez lui une extension d’un contrôle sur place conduit au sein d’un organisme, relativement à l’activité externalisée dont les conclusions sont adressées à l’organisme supervisé par l’ACPR puisque c’est ce dernier qui reste responsable in fine.

Lire (3 min.)

Cybersécurité des sociétés de gestion : l’AMF publie une synthèse de contrôles thématiques

La Rédaction
Le Courrier Financier

Après un premier exercice dont les enseignements ont été publiés en décembre 2019, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a examiné les dispositifs mis en place par 6 autres établissements, tests d’intrusion à l’appui. Dans un document de synthèse publié ce mercredi 7 avril, elle met en avant les bonnes pratiques et les points de vigilance.

A travers une nouvelle série de contrôles thématiques courts (SPOT), l’AMF a analysé les pratiques opérationnelles de 5 sociétés de gestion de taille moyenne pour faire face au risque d’une atteinte malveillante à la disponibilité, l’intégrité, la confidentialité et la traçabilité de leurs systèmes d’information.

Cybersécurité et analyse des risques

Les constats de l'AMF ont été enrichis des observations faites à l’occasion d’un contrôle classique réalisé auprès d’un sixième établissement, spécialisé dans le capital-investissement. Le régulateur a porté son attention sur les points suivants :

  • l’organisation et la gouvernance du dispositif de cybersécurité ;
  • le pilotage des prestataires informatiques sensibles ;
  • la gestion des incidents d’origine cyber ;
  • la supervision des processus d’accès à distance au système d’information.

La période d’étude (2017-2020à a permis une analyse du dispositif de pilotage des risques d’origine cyber mis en place lors du premier confinement, incluant l’activation des plans de continuité d’activité et la supervision des connexions à distance des collaborateurs et des partenaires au système d’information des sociétés de gestion. L’AMF a complété son examen par des tests d’intrusion, dont la réalisation opérationnelle a été déléguée à un prestataire externe qualifié par l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’informations (ANSSI).

Bonnes pratiques et points de vigilance

Dans son document de synthèse, le régulateur constate un renforcement de l’organisation et de la gouvernance des dispositifs de cybersécurité au sein des sociétés de gestion. Parmi les bonnes pratiques observées, le régulateur a relevé la prise en charge du sujet par un cadre dédié au sein du comité exécutif, la mise en œuvre de campagnes de sensibilisation régulières des collaborateurs et la prise en compte des risques d’origine cyber dans les cartographies des risques et les plans de contrôle.

En revanche, le travail de formalisation progressive d’une stratégie de cybersécurité, déjà observé en 2019, demeure non abouti sans l’élaboration, au préalable, d’une classification et d’une cartographie des données sensibles et des systèmes critiques. En outre, compte tenu de la multiplication et de la sophistication croissante des attaques observées par le régulateur, le pilotage et le contrôle des interactions entre les sociétés de gestion et leurs prestataires informatiques externes doivent rester des priorités au moment de définir, en amont, les efforts de sécurisation.

Lire (3 min.)

Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

Lire (2 min.)

Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

Lire (2 min.)

Innovation : quand un virus peut en cacher un autre…

Augustin Lecoq
Mandarine Gestion
La crise sanitaire du coronavirus a accéléré la digitalisation de l'économie. Le recours accru aux outils numériques augmente les risques cyber, désormais incontournables dans l'analyse ESG. Quel impact sur les microcapitalisations à l'échelle mondiale ? L'analyse de Augustin Lecoq, gérant chez Mandarine Gestion.
Lire (3 min.)

Digitalisation : qui sont les acteurs cachés ?

Les équipes de Mandarine Gestion
Mandarine Gestion
Face à la crise sanitaire, la digitalisation s'affirme comme un enjeu stratégique. Cette thématique offre de nombreuses opportunités d'investissement dans des valeurs de croissance, en dehors des mastodontes du secteur. Comment identifier ces acteurs cachés ? L'éclairage de l'équipe Croissance de Mandarine Gestion.
Lire (4 min.)