Charles Bartoli & Fabien Vieillefosse – Cogefi Gestion : « un retour en force du marché obligataire »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
PATRIMONIA 2023 / En septembre 2023, Cogefi Gestion revient sur l'actualité de sa gamme. Pourquoi les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) doivent-ils s'intéresser à l'obligataire ? Quelles stratégies d'investissement le gérant leur propose-t-il sur ce segment de marché ?
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Fabien Vieillefosse – Cogefi Gestion : Cogefi Bonds 2026, « le retour en force de l’obligataire »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
En 2023, Cogefi Gestion — spécialiste de la gestion pour compte de tiers — revient sur l'actualité des marchés obligataires. Quelle stratégie le gérant déploie-t-il à travers le fonds Cogefi Bonds 2026 ? Quels sont les objectifs de performance de ce nouveau fonds obligataire à échéance ?
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Fonds daté : Cogefi Gestion lance Cogefi Bonds 2026

La Rédaction
Le Courrier Financier

Cogefi Gestion — spécialiste de la gestion d'actifs — annonce ce vendredi 26 mai renforcer sa gamme de fonds obligataires avec le lancement de « Cogefi Bonds 2026 », organisme de placement collectif (OPC) de droit français à échéance 2026. Le fonds est ouvert aux souscriptions jusqu’au 30 septembre 2023.

Opportunités obligataires

Après une année de remontée de taux historique en 2022, le couple rendement/risque du marché obligataire offre de nouvelles opportunités — y compris sur les dettes courtes. Dans l’environnement actuel (taux et crédit) l’objectif de rendement brut annuel cible est supérieur à 6 %. 

Cette performance sera liée à l’évolution des marchés obligataires, notamment en raison d’une exposition majoritaire aux dettes high yield détenues jusqu’à leur maturité en 2026 (stratégie de portage).

Diversification du portefeuille

Le gérant s’impose une gestion stricte et lisible : aucune exposition résiduelle aux actions, pas de dettes émergentes, une maturité maximum des obligations au 30 septembre 2026 alignée avec la date de remboursement du fonds.

Le portefeuille est bien diversifié en termes d’émetteurs (minimum 50 lignes), de secteurs, de pays (majoritairement européens) et sur des obligations liquides — pas de dettes perpétuelles ou d’hybrides, etc.

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