L’AMF encourage les prestataires de services d’investissement à renforcer leur dispositif de traitement des réclamations des clients

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le traitement des réclamations des clients constitue un volet important de la protection des investisseurs et des épargnants, dont l’AMF a fait l’un de ses six axes prioritaires dans le cadre de sa stratégie « Impact 2027 ». Dans ce domaine, les établissements sont tenus de respecter des règles d’organisation fixées par la directive sur les marchés d’instruments financiers et de répondre à des exigences sur le traitement des réclamations issues du code de la consommation et de la réglementation européenne. 

À l’occasion d’une série de contrôles thématiques courts (dits SPOT pour Supervision des pratiques opérationnelle et thématique), l’AMF a dressé un état des lieux des dispositifs mis en place par 5 établissements prestataires de service d’investissement sur la période du 1er janvier 2020 au 31 décembre 2022. Elle a également procédé à des vérifications sur un échantillon de réclamations pour chacun des prestataires.

Les points d’attention de l’AMF ont porté sur : 

  • la définition adoptée par les établissements pour qualifier une réclamation ;
  • l’organisation et le pilotage du traitement des réclamations ;
  • l’accessibilité de l’information sur le traitement des réclamations ;
  • les engagements pris par les établissements concernant le délai de réponse et la gratuité du dispositif ;
  • l’information des clients sur les voies de recours ;
  • le dispositif de contrôle et l’amélioration continue.

Les équipes de l’AMF se sont également intéressées à la prise en compte de la vulnérabilité des clients dans le traitement des réclamations et la façon dont ce traitement était susceptible de révéler une situation de vulnérabilité. Elles ont aussi examiné dans quelle mesure les éventuels dysfonctionnements remontés via les réclamations ont été pris en compte pour ajuster la gouvernance des produits. Dans le cadre de la réglementation sur les marchés d’instruments financiers, les distributeurs d’instruments financiers doivent, en effet, définir un marché cible et une stratégie de distribution adaptée pour favoriser une commercialisation en adéquation avec les besoins et les profils des clients. L’analyse des plaintes des clients doit être prise en considération dans le réexamen périodique des produits et des services.


Dans sa synthèse, l’AMF relève des insuffisances chez certains prestataires dans le respect des exigences applicables, sur la définition de la réclamation les conduisant à surévaluer ou à l’inverse à sous-évaluer les réclamations déclarées à l’AMF. Elle pointe également des faiblesses concernant l’information systématique des clients lorsque le délai prévu pour le traitement des réclamations (60 jours) risque d’être dépassé. Les voies de recours offertes aux clients ne sont pas systématiquement indiquées en cas de réponse défavorable de l’établissement.

De plus, l’approche par les risques a conduit trop souvent à écarter la thématique « réclamations » des plans de contrôles. À cet égard, l’AMF rappelle l’importance de justifier les approches par les risques retenues par les établissements. Les contrôles ont, par ailleurs, montré qu’aucun des établissements examinés n’avait intégré, sur la période sous revue, les réclamations dans la revue annuelle de leur dispositif de gouvernance des produits.


Parallèlement, le document énumère un certain nombre de bonnes pratiques observées durant les contrôles, parmi lesquelles

  • assurer une veille sur les réseaux sociaux et considérer ce canal comme une source possible pour les clients afin de faire valoir une réclamation ;
  • disposer de collaborateurs qualifiés et/ou d’un service dûment identifiés, accessibles pour le client et dont la seule attribution est le traitement des réclamations pour améliorer la qualité de ce traitement ;
  • prévoir l’intervention d’experts en fonction des thématiques soulevées par les réclamations en appui des services en charge de leur traitement ;
  • former régulièrement les collaborateurs des services en charge du traitement des réclamations ;
  • lorsque des contrôles sont effectués, ces derniers permettent de s’assurer de la qualité des réponses adressées aux réclamations, afin d’éviter la standardisation des réponses, de délivrer les explications nécessaires et in fine d’apporter satisfaction aux clients. 
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Apax by Seven2 : le fonds Apeo affiche plus de 350 millions d’euros d’encours

La Rédaction
Le Courrier Financier

Apax by Seven2 — label qui regroupe l’activité clientèle privée de Seven2 — annonce ce lundi 20 novembre que son fonds Apeo atteint un encours sous gestion de plus de 350 M€. Lancé en novembre 2020, le FCPR Apeo vient de fêter son troisième anniversaire.

Labellisé Relance en 2020, ce fonds est accessible via différents supports tels que les contrats d'assurance vie, les contrats de capitalisation et disponible en épargne retraite collective (PERECO) via un FCPE. Il s'agit par ailleurs d'un fonds perpétuel « evergreen », sans appel de fonds, ni distribution.

Co-investissements dans 15 entreprises

Le fonds Apeo connaît un déploiement soutenu : à date, il a co-investi en direct dans 15 entreprises, dont 7 ETI et 8 PME, réparties dans les quatre principaux secteurs d’activité de Seven2 et dans plusieurs pays européens. De nouveaux investissements sont prévus pour le début 2024.

Ce véhicule co-investit en direct aux côtés des fonds fermés levés auprès d’investisseurs institutionnels et gérés par Seven2, que ce soit sur sa stratégie midcap ou smallcap. Apeo attire les investisseurs privés notamment grâce à son ticket d’entrée accessible, sa liquidité, et grâce à un accès à l’expertise de plus de 50 ans en capital investissement de Seven2.

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Parole de CGP – Ad Maiora : gestion privée, « nous restons petits pour conserver la relation client »

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Retrouvez l'émission du Courrier Financier, « Parole de CGP ». Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) nous présentent leur activité, les problématiques auxquelles ils sont confrontés, et nous racontent l’évolution de leur profession. Plongez dans l’actualité de la gestion de patrimoine !
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Amundi recrute son Responsable de la Clientèle institutionnelle

La Rédaction
Le Courrier Financier

Amundi — spécialiste européen de la gestion d’actifs — annonce ce lundi 20 septembre recrute son nouveau Responsable de la Clientèle institutionnelle. Ce poste sera désormais occupé par Alexander Preininger.

Focus sur le parcours d'Alexander Preininger

Amundi recrute son Responsable de la Clientèle institutionnelle
Alexander Preininger

Alexander Preininger est titulaire d’un Master Economie et Gestion de l’Université d’Innsbruck (Autriche) et détenteur du CEFA (Certified EFFAS Financial Analyst). En 2002, il débute sa carrière en tant que gérant de portefeuilles sénior au sein de la gestion diversifiée chez DWS avant d’y être nommé, en 2009, Responsable mondial Overlay Management. Il devient Responsable adjoint Client Solutions, poste qu'il occupe jusqu'2017.

Entre 2014 et 2016, Alexander Preininger occupe également le poste de Responsable Asset & Wealth Management de DWS au Japon. De retour en Allemagne en 2016, il est nommé Responsable de la Clientèle institutionnelle EMEA de DWS. En février 2019, il rejoint Robeco Institutional Asset Management B.V en tant que Responsable de la Clientèle institutionnelle EMEA. En 2021, Alexander Preininger devient Responsable de la Clientèle institutionnelle d’Amundi.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Brexit : établissements financiers britanniques, quelles obligations vis-à-vis de leurs clients en France ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Dans le cadre de sa mission de protection de la clientèle, l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) rappelle ce lundi 4 janvier aux établissements britanniques concernés qu’ils doivent délivrer à leurs clients en France une information personnalisée sur les modalités selon lesquelles leurs services continuent — ou cessent — d’être fournis en France depuis le 1er janvier 2021. Depuis cette date, le droit européen n’est plus applicable au Royaume-Uni.

Les établissements du secteur bancaire et du secteur de l’assurance agréés au Royaume-Uni ne disposent plus du droit d’offrir leurs services en France en vertu du libre établissement — présence permanente en France, par exemple une succursale — ou de la libre prestation de services, c’est-à-dire sans présence permanente en France — par exemple par l’intermédiaire d’une plateforme digitale implantée au Royaume-Uni ou de courtiers. Les listes des établissements concernés sont disponibles sur le site de l’ACPR :

Conditions actuelles de service

Certains de ces établissements ont pris des dispositions pour continuer à fournir leurs services en France, selon les cas, soit par l’intermédiaire d’une filiale (ou, lorsque cela est possible, d’une succursale) agréée en France, soit par l’intermédiaire d’une filiale agréée dans un autre pays de l’Espace économique européen et agissant en France en vertu du libre établissement ou de la libre prestation de services.

L’ACPR rappelle aux établissements britanniques concernés qu’ils doivent délivrer à leurs clients en France une information personnalisée sur les modalités selon lesquelles leurs services continuent — ou cessent — d’être fournis en France depuis le 1er janvier 2021. Il leur est demandé de mentionner cette information de manière explicite sur leur site internet et, en cas de cessation, de préciser les droits dont disposent leurs clients afin d’éviter tout préjudice à ces derniers.

Contrats conclus avant le Brexit

L’ACPR rappelle, en outre, que les contrats conclus avant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne avec des établissements britanniques demeurent valides et doivent être exécutés de bonne foi. En particulier :

  • les clients disposant d’un compte bancaire ou d’un compte de paiement ouvert au Royaume-Uni, auprès d’un prestataire agréé au Royaume-Uni ou de la succursale implantée au Royaume-Uni d’un établissement agréé sur le territoire de l’Union européenne, ou d’un compte ouvert auprès de la succursale européenne d’un établissement agréé au Royaume Uni, demeurent en droit de conserver ce compte. Ils sont cependant invités à se renseigner sur les règles de protection des dépôts qui sont désormais applicables, le cas échéant en consultant le site du Fonds de garantie des dépôts et de résolution ;
  • les contrats d’assurance conclus avec un assureur britannique qui n’a pas pris de disposition pour continuer d’exercer en France, demeurent valides et doivent être exécutés de bonne foi jusqu’à leur échéance. L’assureur est tenu d’informer les souscripteurs résidant en France, par lettre recommandée ou recommandé électronique, dans les quinze jours suivant la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, qu’il ne pourra de ce fait plus émettre de nouvelles primes ni renouveler le contrat ; il doit préciser la date de fin des garanties. Pour celles qui prennent fin plus de trois mois après cette première information, les clients doivent être informés de la fin de ces garanties au moins deux mois avant leur échéance.

Le cas échéant, les clients résidant en France qui n’auraient pas encore été contactés sont invités à se renseigner directement auprès de leur établissement financier ou de l’intermédiaire auprès de qui il aurait délégué la gestion de la relation client.

Avant de s’engager, les clients sont également invités à consulter la liste des établissements du secteur bancaire et du secteur de l’assurance autorisés à exercer en France sur le site www.regafi.fr et sur le site de l’ACPR. D’autres informations relatives au Brexit sont également disponibles sur la même plateforme. L’ACPR effectuera des vérifications sur la teneur des communications faites aux clients résidant en France.

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Entreprises : Prosegur et Fiducial concluent un partenariat stratégique

La Rédaction
Le Courrier Financier

Prosegur — spécialiste de la sécurité privée — et Fiducial — holding française, spécialiste des services pluridisciplinaires aux PME — annoncent ce lundi 1er juin un partenariat stratégique pour accompagner leur clientèle internationale en France. Cette opération inclut le projet de cession des activités françaises de Prosegur à Fiducial.

La cession devrait intervenir au cours du troisième trimestre 2020, sous réserve de la consultation des instances représentatives du personnel et des autorisations réglementaires habituelles. Allen & Overy intervient en qualité de conseil de Prosegur. Bredin Prat et Fiducial Legal interviennent en qualité de conseils de Fiducial.

Renforcer les activités de Fiducial

Le partenariat et le projet de cession des activités françaises de Prosegur permettront à Fiducial d’élargir son offre de sécurité en France. Celle-ci reposera sur le savoir-faire de 9 500 professionnels de sécurité et sur des solutions technologiques intégrées et déployées sur des milliers de sites clients à partir de centres de contrôle exclusifs.

« Le partenariat avec Prosegur permettra à Fiducial Sécurité d’accélérer et renforcer son leadership dans les domaines de l’aérospatial, de la défense et des infrastructures critiques ainsi que dans d’autres secteurs stratégiques. De nombreux clients auront ainsi accès aux talents et capacités technologiques de Fiducial », déclare Christian Latouche, fondateur et PDG de Fiducial.

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Covid-19, les adhérents de PLANETE CSCA mobilisés face à la crise sanitaire

La Rédaction
Le Courrier Financier

Les principaux enseignements sont :

• Une forte résilience des entreprises, qui ont été capables de réagir pour assurer la continuité de services,

• Une forte résilience des entreprises, qui ont été capables de réagir pour assurer la continuité de services,

• Une relation-client malmenée par les conditions d’exercice des activités, mais renforcée par le dialogue,

• Une possible ré-organisation du travail, prenant en compte le télétravail, dans une majorité de cabinets,

• Un recours responsable aux dispositifs mis en place par l’Etat,

• Une anticipation de la part des cabinets de courtage sur les sujets sanitaires, même pour les courtiers de proximité,

• Globalement une bonne connaissance des enjeux dans cette période et une mobilisation sans faille.

Pour Bertrand de SURMONT, Président de PLANETE CSCA, les résultats de ces enquêtes font apparaître l’inquiétude qui monte chez les courtiers : « Les dispositifs mis en place montrent leurs limites pour les cabinets de courtage, car les répercussions sur leur chiffre d’affaires se fera sentir dans les mois à venir. Il est nécessaire de les adapter ou de les
maintenir au-delà du déconfinement. C’est pourquoi PLANETE CSCA se met en position de mener une enquête mensuelle nouvelle portant principalement sur l’évolution du chiffre d’affaires et de la trésorerie des cabinets de courtage ».

Ce Baromètre de l’activité des courtiers démarrera fin mai sur une base mensuelle ; il est prévu pour perdurer jusqu’à la fin du 1er trimestre 2021.
En parallèle, l’enquête sur le suivi de l’accord de branche professionnelle relatif aux congés payés (accord du 6 avril 2020) se poursuivra jusqu’à fin juin 2020 comme prévu avec les organisations syndicales.

Pour accéder aux résultats des enquêtes d’avril et mai 2020

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Sébastien Bareau – Les Conférences CGP : comment faire de son cerveau un allié ?

Mathilde Hodouin
Le Courrier Financier
Comment conseiller ses clients afin qu'ils prennent les meilleures décisions d'investissement ? Mardi 4 février 2020, les Conférences CGP proposent aux professionnels du patrimoine de réfléchir sur le thème « Comment faire de son cerveau un allié ? ».
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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L’ACPR et l’AMF publient leur rapport annuel 2018

La Rédaction
Le Courrier Financier

Le Pôle commun à l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) et à l’Autorité des marchés financiers (AMF) publie ce mardi 18 juin son Rapport annuel 2018. Cette année a été marquée par l’avancement de plusieurs chantiers-clés pour la protection de la clientèle des secteurs de la banque, de l’assurance et des services financiers.

Information des clients et prévention

Un an après sa refonte, les consultations du site internet Assurance Banque Épargne Info Service (ABEIS) se sont intensifiées. Plus de 750 000 visiteurs ont consulté au moins une fois le site en 2018, soit une progression de 14 % par rapport à 2017. Le site a été enrichi de nouveaux dossiers et vidéos à destination des clientèles des établissements financiers. Elles portent entre autres sur les supports financiers des contrats d’assurance vie, sur le conseil en matière de placements et sur le libre choix de l’assurance emprunteur.

Dans un contexte de hausse significative des escroqueries et des arnaques — notamment en matière de crypto-actifs — l’ACPR et l’AMF ont renforcé leur activité de veille sur les acteurs qui ne sont pas autorisés à commercialiser leurs produits ou services en France. Dans ce cadre, 150 noms ont été ajoutés aux quatre listes noires. Une cinquième liste a été créée, afin de recenser les sites qui proposent des produits dérivés sur crypto-actifs sans respecter la réglementation.

Le Pôle commun a également poursuivi ses actions de veille sur les publicités émises par les acteurs financiers, afin de prévenir les pratiques de commercialisation inadéquates. Le Pôle est ainsi intervenu en faveur d’un rééquilibrage des messages publicitaires associés aux contrats d’assurance vie en unités de compte, afin que les risques inhérents apparaissent plus loyalement aux côtés des rendements présentés.

Clientèle vulnérable et auto-placements

Le Pôle commun s’engage en faveur de la protection des clientèles les plus fragiles. Il a lancé une consultation de place sur les pratiques de commercialisation de produits financiers auprès des personnes vieillissantes devenues vulnérables. Les réponses reçues montrent la prise de conscience de tous les acteurs sur la nécessité de réfléchir ensemble à ce sujet délicat mais indispensable.

Il touche à la nature des produits vendus, aux modes de commercialisation, notamment au démarchage téléphonique ou aux processus digitaux, à la clarté des informations délivrées ou encore à l’effectivité du consentement recueilli. Un groupe de travail — associant toutes les parties prenantes — va être lancé en 2019 par les deux autorités, afin de poursuivre ces travaux et de dégager les meilleures pratiques.

Enfin, après une première enquête menée en 2018, le Pôle commun poursuivra sur 2019 ses travaux d’examen des pratiques commerciales portant sur les titres émis par des acteurs financiers et placés auprès de leur propre clientèle (auto-placement). Objectif, vérifier la correcte maîtrise des enjeux de distribution, notamment le devoir de conseil adapté aux risques et la gestion des conflits d’intérêts.

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Prudentia Patrimoine reprend la clientèle du cabinet SDL Gestion Privée

La Rédaction
Le Courrier Financier

Prudentia Patrimoine — cabinet de conseil en gestion de patrimoine — a annoncé le 25 avril 2019 la reprise du portefeuille client du cabinet SDL Gestion Privée sous forme de location-gérance, et l’arrivée de Frédéric Levassor et d’Evelyne Sailland pour renforcer ses pôles Immobilier et Prévoyance & Epargne Salariale.

Spécialiste de l’ingénierie patrimoniale juridique et fiscale, Prudentia Patrimoine conçoit sur du long terme des stratégies cohérentes et optimisées qui s’adaptent à l’évolution personnelle et professionnelle de ses clients. Le cabinet travaille pour le compte de chefs d’entreprise, dirigeants et professions libérales.

60 millions d'euros d'encours sous gestion

Cette reprise s’inscrit dans la stratégie de croissance de Prudentia Patrimoine. Le cabinet développe ainsi de nouvelles expertises et propose à ses clients une offre complète de conseil global et transverse. « Cette opération permet à Prudentia Patrimoine de doubler son encours sous gestion passant  à 60  M€, d’amplifier sa présence sur ce marché et d’intégrer des compétences complémentaires pour le bénéfice final de ses clients actuels et futurs », explique Grégory Lecler, fondateur de Prudentia Patrimoine.

Prudentia Patrimoine dispose d'une équipe de 9 personnes, dont 4 conseillers, 1 responsable juridique, 1 responsable de l’ingénierie patrimoniale et 3 middle et back office. Leur expertise permet à Prudentia Patrimoine de répondre aux demandes de ses clients avec sérieux et objectivité. Deux recrutements supplémentaires viendront bientôt renforcer les équipes middle et back office. D’ici 3 ans, Prudentia Patrimoine ambitionne d’atteindre 100 M€ et de poursuivre sa croissance externe.

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