Bureaux : Keys REIM installe un premier occupant dans son immeuble à Lyon Confluence

La Rédaction
Le Courrier Financier

Keys REIM — société de gestion de portefeuille (SGP) du groupe Keys Asset Management (Keys AM) — annonce ce jeudi 20 avril l’arrivée d’un premier occupant au sein de son immeuble de bureaux à Lyon (Rhône), dans le quartier de Lyon Confluence. Cet ensemble immobilier est en cours de développement par Bouygues Immobilier. L'actif se répartit en deux bâtiments, dont la livraison est prévue au T2 2023.

L’ensemble immobilier développe une surface totale d’environ 5 000 m² (Plug'Yn 969 m², Pylote 3 928 m²). L'actif est labellisé BREEAM Very Good. Il offrira des prestations de qualité à ses occupants. Les plateaux permettront notamment une grande flexibilité d’aménagement. Sa localisation en plein cœur du quartier Confluence, avec ses commerces et services, et sur le bord du Rhône offre un environnement agréable aux futurs occupants.

Bureaux : Keys REIM installe un premier occupant dans son immeuble à Lyon Confluence
Keys REIM installe un premier occupant dans son immeuble de bureaux à Lyon Confluence
Source : Keys REIM

Bureaux : Keys REIM installe un premier occupant dans son immeuble à Lyon Confluence
Le groupe IWG sera officiellement la première société à s'installer dans l’immeuble
Source : Keys REIM

Le groupe IWG, premier occupant de l'immeuble

« Le développement d’une opération immobilière est jalonné d’étapes clefs : l’arrivée d’un premier occupant en fait partie. Nous sommes ravis de l’installation d’IWG au sein de notre immeuble. Tout comme notre locataire, nous avons des convictions fortes sur le bureau géré offrant une flexibilité à ses occupants et ce, dans des métropoles dynamiques. Fort de tout cela, nous sommes persuadés que les autres mètres carrés trouveront rapidement preneurs », explique Vincent Evenou, Directeur de l’Asset Management chez Keys REIM.

Le groupe IWG opère en France les marques Regus, HQ, Spaces, Stop&Work et Signature. Il est officiellement la première société à s'installer dans l’immeuble avec un espace de coworking Regus de 1 200 m². « Le Groupe IWG est implanté à Lyon depuis 25 ans. Le site Regus Confluence, le 9ème espace d’IWG dans la métropole viendra renforcer l’offre de bureaux de services aux entrepreneurs dans ce quartier post-industriel d’urbanisme engagé », déclare Christophe Burckhart, Directeur Général IWG France.

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SCPI Novaxia NEO : Novaxia Investissement acquiert des bureaux en Sale & Lease-Back à Montpellier

La Rédaction
Le Courrier Financier

Novaxia Investissement — spécialiste du recyclage urbain, société à mission — annonce ce mardi 11 avril l'acquisition d'un immeuble de bureau en Sale & Lease-Back à Montpellier (Hérault), auprès d’UXCO Group, pour le compte de sa SCPI Novaxia Neo. Novaxia Investissement était conseillé par CATELLA PROPERTY dans le cadre d’une vente off-market. UXCO Group était conseillé par l’étude NOTER et Novaxia Investissement par l’étude Thibierge.

Plus de 4 600

L’actif bénéficie de l’attractivité de la ville de Montpellier et de sa demande constante de bureau. Il se situe au 125 rue Gilles Martinet à Montpellier, à proximité immédiate de l’autoroute A9 et de la future ligne de tramway 5. Cet immeuble de bureaux a été livré clé-en-main par Océanis Promotion en 2009. Il était détenu en pleine propriété par UXCO Group. Il développe 4 608 m² (dont restaurant d’entreprise et salle de sport) sur cinq niveaux et deux niveaux de sous-sol.

L’immeuble se trouve en face de la ZAC Ovalie, qui s’étend sur 35 hectares et qui inclut 22 400 m² de commerces et équipements publics, une crèche et deux groupes scolaires, une maison de retraite et 3 100 logements à terme. Compte tenu de cette excellente localisation dans un environnement mixte, il pourrait faire l’objet d’un recyclage d’usage, comme le veut la stratégie de Novaxia NEO — si l’immeuble venait à ne plus trouver de locataire sur le long terme.

SCPI Novaxia NEO : Novaxia Investissement acquiert des bureaux en Sale & Lease-Back à Montpellier
Novaxia Investissement acquiert des bureaux à Montpellier (Hérault) pour la SCPI Novaxia Neo
Source : Novaxia Investissement

Sale and Lease-back

Le Sale and Lease-back permet à l’occupant de devenir locataire de ses murs et de s’affranchir de la charge quotidienne du propriétaire. Objectif, se concentrer sur ses vrais enjeux business, tout en restant dans un environnement familier et dans lequel les collaborateurs se sentent bien. Novaxia Investissement propose un accompagnement sur mesure par une équipe dédiée, de la vente avec l’équipe investissements, à la gestion des biens avec une équipe asset management.

L’actif est loué à 100 % avec deux baux de 6 ans fermes, auprès d'Océanis Promotion et Appart’City — deux entités d’UXCO Group, spécialisées en développement immobilier et gestion de résidences, appartements-hôtels et logements étudiants. « Avec l’acquisition de cet actif de qualité, loué dans sa totalité à deux acteurs incontournables de l’immobilier en France, nous poursuivons notre stratégie d’acquisition en Sale & Lease-Back. Cette stratégie gagnante pour toutes les parties nous permet d’avoir des immeubles bien loués sur mesure pour les locataires »déclare Mathieu Descout, Président de Novaxia Investissement.

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OPCI SwissLife ESG Dynapierre : Swiss Life Asset Managers France signe un bail avec Malt

La Rédaction
Le Courrier Financier

Swiss Life Asset Managers France (Swiss Life AM France) — filiale de gestion des actifs du groupe Swiss Life — annonce ce mardi 7 mars la signature d’un bail avec Malt à Paris (IXe arrondissement) pour l'immeuble Magda. L'opération a été menée pour l’OPCI SwissLife ESG Dynapierre et de Swiss Life France. Swiss Life AM France sécurise ainsi un bail sur l'intégralité des surfaces de bureaux de l'actif, cinq mois avant sa livraison prévue en juin 2023.

L’immeuble « Magda » se situé au 18 rue Godot de Mauroy à Paris. Il a été acquis en 2020 pour le compte de Swiss Life France et de l’OPCI SwissLife ESG Dynapierre, labellisé ISR. L'actif est géré par Swiss Life AM France. Cet immeuble d’exception déploie 4 550 m² de bureaux, qui viendront accueillir la société Malt. Membre du Next 120, Malt est une plateforme européenne qui regroupe plus de 480 000 consultants.

Démarche sociétale et environnementale

Idéalement situé à proximité de la place de la Madeleine, Magda fait l’objet d’une restructuration haut-de-gamme imaginée par le Studio Vincent Eschalier et le Cabinet Des Sources. La réalisation de ce lieu unique à l’image valorisante a été confiée à la société Sedri dans le cadre d’un Contrat de Promotion Immobilière. Chaque espace, extérieur comme intérieur, a été repensé selon un projet exigeant centré sur le confort des usagers et leurs nouvelles attentes.

A l’image de l’ensemble de ses projets immobiliers, Swiss Life AM France inscrira l'immeuble Magda dans une démarche rigoureuse d’amélioration sociétale et environnementale, « fidèle à ses engagements d’investisseur responsable », indique le communiqué. L’immeuble vise les certifications HQE Très Performant, BREEAM Very Good et WiredScore Silver. Swiss Life AM France a été accompagné par CBRE et Me Louise Duvernois du cabinet SBKG & associés. Malt a été accompagné par Parella et Me Nicolas Dhuin du cabinet d’Ornano Dhuin.

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Bureaux : Foncière Magellan loue un immeuble de 4 000 m² à Now Coworking sur l’île de Nantes

La Rédaction
Le Courrier Financier

Foncière Magellan — société de gestion indépendante, spécialiste de l’investissement immobilier tertiaire en région — annonce ce mardi 22 novembre la location d’un de ses actifs sur l’île de Nantes (Loire-Atlantique) à Now Coworking, spécialiste français des espaces de travail premium. L'entreprise a signé fin octobre un bail de 12 ans ferme.

4 000 m² d'espaces de bureaux

Basé à Nantes (Loire-Atlantique), Foncière Magellan a acquis fin 2019 un bâtiment en VEFA (vente en état futur d’achèvement) pour le compte de son fonds Immofim 2019. Cet immeuble de bureaux s’étend sur un peu plus de 4 000 m². Il a été imaginé par le célèbre architecte Marc Mimram et construit par ADIM, société de Vinci Construction. Il se situe sur l’île de Nantes, au cœur du Quartier de la Création.

L'actif est directement relié par des passerelles à l’Ecole de Design de Nantes. Déployé sur quatre étages, ce bien a été commercialisé par Mètre Carré, spécialiste du conseil en immobilier basé à Nantes. Il peut se prévaloir d’une réelle visée environnementale. Labellisé « Bâtiment Energie Environnement (BEE) tertiaire neuf » et titulaire de la norme RT2012, il est par ailleurs surmonté d’une toiture végétalisée.

« Cette opération démontre une nouvelle fois notre attachement à nos racines nantaises, avec près de 25 actifs dans la Métropole. Nous avions déjà acquis fin 2015, sur l’île de Nantes, l’immeuble Unik, le berceau de la French Proptech. Nous sommes ravis d’accueillir, au sein de cet immeuble, Now Coworking, avec qui nous partageons l’envie d’apporter des réponses aux nouveaux modes de vie et de travailler au sein des grandes métropoles »déclare Laure Blouin, Directrice du Pôle Immobilier de Foncière Magellan.

Développer la culture du coworking

Now Coworking déploie des espaces de coworking premium, implantés dans des bâtiments remarquables au cœur des plus grandes villes de France. Créée en 2015, la société est déjà présente à Rouen (Seine-Maritime), Lyon (Rhône), Lille (Nord), Marseille (Bouches-du-Rhône) et Bordeaux (Gironde) et désormais à Nantes. Elle crée des espaces « au décor chic et raffiné » aménagés pour favoriser les échanges informels et les rencontres entre professionnels.

Les espaces Now Coworking s'adaptent aux indépendants et aux entreprises de toutes tailles — de la TPE-PME au grand groupe. Les services premium all-in de Now Coworking facilitent le quotidien des utilisateurs.Tout est inclus, flexible et sans engagement. L'entreprise loue ses espaces au mois, sans bail, sans caution, charges et services compris. Now Coworking apporte une attention particulière au bien-être des coworkers. A travers son programme Now Care, l’entreprise propose des évènements quotidiens autour d’une thématique bien-être.

« Le travail en coworking est devenu un nouveau mode de vie que les entreprises ont intégré dans leurs pratiques. Nantes sera la première ville à accueillir un espace Now Coworking le long de la Loire. A l’image du concept, cet espace de 4 000 m² a été conçu dans un environnement exceptionnel, sur l’Ile de Nantes à deux pas des incontournables Machines. On y retrouvera bien sûr des espaces de travail individuels ou partagés et les espaces de sociabilité habituels : salle de sport, cuisine aménagée, espace sieste et salons de détente. Un nouvel art de vivre le travail imaginé par Now », déclare Maxime Givon, Directeur général de Now Coworking.

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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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Immobilier de bureaux : quelles conséquences le coronavirus a-t-il sur le marché en Ile-de-France ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

L’année 2020 avait débuté sur un rythme moins dynamique que 2019. Mais dès le milieu du mois de mars, la propagation du Covid-19 et la mise en place de mesures de restrictions drastiques ont fait basculer le marché des bureaux d’Ile-de-France dans une situation inédite de blocage, en ajournant brusquement une large part de l’activité transactionnelle. Quelles seront les conséquences à court et moyen termes de la pandémie sur l’immobilier de bureaux ? Knight Frank France — Spécialiste de l'immobilier d'entreprise à Paris — publie ce mercredi 1er avril une étude détaillée, alors que la durée précise de la période de confinement reste encore très incertaine.

Bilan de l'activité locative au 1er trimestre 2020

Près de 465 000 m² de bureaux ont été placés en Ile-de-France au 1er trimestre 2020 contre 538 000 m² sur l’ensemble du 1er trimestre 2019, soit une baisse de 14 %. La baisse du marché locatif avait été amorcée avant la propagation du coronavirus, et ce dès 2019. Comme celui du 1er trimestre 2020, le résultat du 1er trimestre 2019 était nettement inférieur à celui des 1ers trimestres 2017 (611 000 m²) et 2018 (747 000 m²). La baisse observée en 2019 s’est donc accentuée au début de 2020, en lien avec un nombre encore plus réduit de transactions supérieures à 5 000 m² (9 seulement en 2020 contre 21 au 1er trimestre 2018 et 14 au 1er trimestre 2019).

Au 1er trimestre 2020, le volume des grandes transactions chute de 46 % sur un an et de 78 % par rapport au 1er trimestre. Contrastant avec la forte baisse enregistrée sur le segment des grandes opérations, celui des petites et moyennes transactions a bien résisté avec un volume en léger retrait de 2 % d’une année sur l’autre. Les fondamentaux du marché francilien des bureaux étaient donc plutôt bons avant le début de la crise sanitaire. Toutefois, ce créneau pourrait être plus impacté que celui des grandes transactions en raison de l’impact du Covid-19 sur l’activité des TPE-PME.

L’analyse de la demande placée par secteur géographique confirme la bonne résistance du marché parisien. En dépit d’une offre disponible au plus bas, la demande placée de bureaux dans Paris intra-muros atteint un volume proche de celui de l’an passé (un peu moins de 200 000 m²). Sa part est quasi identique à celle enregistrée il y a un an (près de 40 % des surfaces commercialisées en région parisienne). À La Défense, la demande placée enregistre une hausse de 30 % sur un an. Les autres secteurs tertiaires de région parisienne sont quasiment tous orientés à la baisse.

Le recul est très important dans le Croissant Ouest qui — plus que l’an passé  — souffre du manque de grandes et très grandes opérations. L’analyse de la demande placée par secteur d’activité est à relativiser, compte tenu du nombre limité de grandes transactions. Cela explique notamment la baisse des secteurs de l’industrie-distribution et de la banque-assurance. Les opérateurs de coworking sont quant à eux restés dynamiques, avec près de 30 000 m² loués depuis le début de 2020 contre 38 000 m² au 1er trimestre. Deux opérateurs concentrent une large part des m² de bureaux pris à bail : Morning Coworking qui a loué 6 000 m² dans l’« Hôtel de la Marine » à Paris, et Deskeo qui, après avoir loué une trentaine de petites ou moyennes surfaces en 2019, en a déjà pris à bail une dizaine depuis janvier.

Après son dernier point haut de 2015 (4,01 millions de m²), le volume de l’offre immédiate en région parisienne n’avait cessé de diminuer pour atteindre 2,37 millions de m² à la fin de 2019. Selon les premières estimations de Knight Frank France, le volume de l’offre est reparti à la hausse au 1er trimestre 2020. Avec un stock de bureaux immédiatement disponibles estimé à 2,9 millions de m², celui-ci est stable sur un an mais progresse de 5 % en un trimestre. Le taux de vacance passe ainsi de 5 % à la fin de 2019 à 5,3 % à fin mars 2020. Dans le QCA, il reste inférieur à 2 %.

Activité locative, une question de temps

La mise en place de restrictions sévères destinées à contenir la pandémie a bloqué le marché des bureaux d’Ile-de-France. La grande majorité des utilisateurs a remis à plus tard la concrétisation de ses projets immobiliers. C'est une première différence avec la situation observée lors des précédentes crises, qui n’avaient pas mené à un arrêt aussi brusque de l’activité. Sans certitude sur la durée de la période de confinement, difficile de savoir quand elle redémarrera. Après la fin des mesures de restriction, il faudra du temps pour restaurer la confiance et redonner de la visibilité aux entreprises, ce qui pourrait retarder d’autant la reprise.

La chute des volumes placés sera importante compte tenu de l’arrêt de l’activité et d’une reprise qui — si l’on reste optimiste — ne devrait survenir qu’à la fin du 2e trimestre. L'acquis de demande placée atteint moins de 500 000 m² au 1er trimestre. Le volume consommé sur l’ensemble de 2020 sera donc nettement inférieur à la moyenne décennale en Ile-de-France (2,3 millions de m²) et, au mieux, proche des deux points bas des deux dernières décennies (1,48 million en 2002, 1,75 million en 2013). Le comportement des grands utilisateurs sera décisif. Si la faiblesse du segment des grandes surfaces — observée depuis quelques mois — s’accentue, elle amplifiera la baisse des volumes commercialisés. Si ce créneau de marché résiste, cela permettra en revanche de soutenir l’activité.

Cette hypothèse, plutôt optimiste dans les conditions actuelles de marché, peut s’appuyer sur plusieurs éléments. La puissance des grands groupes et la diversité des secteurs d’activité présents en région parisienne ont toujours assuré au marché des bureaux d’Ile-de-France une certaine dynamique et des mouvements récurrents, même en période de crise. Pour les grands groupes, crise économique, ralentissement de l’activité et recherche d’économies ne signifient pas nécessairement absence de mouvements immobiliers. Après avoir perdu un peu d’importance au profit de l’attraction des talents et du bien-être des salariés, les projets de rationalisation pourraient ainsi redevenir un moteur de l’activité locative.

Les grands utilisateurs désireux de rationaliser leur immobilier seront d’autant plus enclins à déménager que l’offre augmentera et que les loyers seront corrigés à la baisse. La conjoncture pourrait donc devenir plus favorable pour certains pôles de périphérie, en particulier dans les secteurs traditionnels de report de l’Ouest ou de la 1ère couronne (Saint-Ouen, Saint-Denis), bien reliés aux transports et traditionnellement appréciés des grands comptes.

Relations bailleurs - locataires, rééquilibrage attendu

Selon l’article 11 de la loi d’urgence du 23 mars 2020, le gouvernement peut, par voie d'ordonnance, reporter intégralement ou étaler le paiement des loyers des micro-entreprises. Pour les autres, le sujet du paiement des loyers sera réglé au cas par cas avec les bailleurs. La situation paraît aujourd’hui plus claire pour les commerces, dont l’activité s’est — hormis certains secteurs (alimentaire, etc.) — subitement arrêtée du fait des fermetures liées à l’urgence sanitaire.

Tel n’est pas le cas des bureaux : si la plupart des employés sont aujourd’hui confinés à leur domicile, le travail à distance permet d’assurer la continuité, au moins partielle, de l’activité. Au-delà de la question de l’aménagement des loyers, la crise du Covid-19 permettra sans doute un rééquilibrage des relations entre bailleurs et locataires. Ce sont les premiers qui avaient jusqu’à présent la main sur le marché des bureaux d’Ile-de-France, en particulier au sein des secteurs les plus tendus comme Paris. Ailleurs, l’évolution de ces relations dépendra en grande partie de l’état des disponibilités et de l’ampleur de la remontée des taux de vacance.

Offre future, entre suroffre et normalisation

Plus d’1,5 million de m² de bureaux étaient en cours de chantier en Ile-de-France au début de 2020. Ce niveau historiquement élevé laissait présager, avant même le début de la crise, une hausse générale de l’offre. Avec la crise, la remontée des taux de vacance devrait s’amplifier, même si l’arrêt des chantiers lié aux contraintes sanitaires aura pour effet de reporter la livraison des opérations en cours et de décaler l’arrivée sur le marché des nouvelles offres. Par ailleurs, la situation restera très contrastée selon les différents pôles tertiaires franciliens.

Dans Paris, la part élevée des pré-commercialisations (59 % des m² actuellement en chantier) devrait ainsi permettre de compenser la baisse de la demande et contenir la progression de la vacance. L’augmentation de l’offre devrait être bien plus nette dans d’autres secteurs, comme La Défense et certains marchés de première couronne. A La Défense, la remontée de la vacance était attendue depuis plusieurs mois : 370 000 m² de bureaux en chantier y sont disponibles, à comparer à une consommation moyenne de 95 000 m² sur les cinq dernières années (surfaces supérieures à 5 000 m²). Enfin, le déséquilibre devrait également s’accentuer dans le Nord, où seuls 10 % des m² en chantier ont été pré-loués.

Deux éléments pourraient contenir la hausse de l’offre. Malgré une baisse générale de la demande, les secteurs les plus offreurs pourraient bénéficier du report de grands utilisateurs à la recherche du meilleur rapport qualité-prix. Surtout, le coup d’arrêt porté à l’activité locative par la crise du Covid-19 devrait inciter les investisseurs à reporter ou ajourner les opérations qui étaient en attente de lancement. Cela devrait limiter les livraisons attendues en 2022 et au-delà, et d’amoindrir la pression baissière sur les loyers. En outre, l’ajournement de l’instruction et de la délivrance des autorisations d’urbanisme aura également des conséquences sur le planning des projets, le report du second tour des élections municipales ajoutant aussi à l’incertitude. Enfin, les projets de transport vont prendre du retard, ce qui impactera les grands secteurs de développement du Grand Paris Express.

Valeurs locatives, fin de la croissance

L’évolution des valeurs locatives est sans aucun doute l’une des plus grandes incertitudes du moment. En tout état de cause, le manque de visibilité demeurera tant que les mesures de restriction ne seront pas levées. Mais le flou pourrait se prolonger même après cela, favorisant ainsi l’attentisme des utilisateurs et continuant de peser sur l’activité locative. Comme pour l’offre et l’évolution des taux de vacance, la situation sera très contrastée selon les différents marchés.

Contrairement à la plupart des grands pôles tertiaires franciliens, la correction des valeurs était déjà en œuvre à La Défense avant que ne survienne la crise du Covid-19. La baisse pourrait désormais s’accentuer en raison de la nette hausse des livraisons et des libérations. En revanche, la baisse pourrait être limitée à Paris en raison du faible nombre d’opérations en chantier disponibles, d’un socle d’utilisateurs captifs dans des secteurs à très forte valeur ajoutée (luxe, conseil, finance, etc.) et de tendances structurelles favorables à la capitale.

Modes et espaces de travail, évolution plutôt que révolution

La crise sanitaire a bousculé les modes de travail avec l’adoption généralisée du télétravail. Les grandes grèves de décembre 2019 avaient à cet égard constitué un test à grande échelle. Une fois la crise passée, plus rien ne sera comme avant. Pour autant, la lame de fond créée par la crise sanitaire ne remettra pas en question la pertinence des immeubles de bureaux. Bien au contraire, la période de confinement convaincra les managers du bien-fondé de ces espaces et de la nécessité pour les collaborateurs de maintenir un contact physique.

Knight Frank France privilégie un scénario médian, entre progression du télétravail et consolidation de la place des bureaux comme espaces de sociabilité favorisant le bien-être, la productivité et l’innovation. Un parallèle peut être fait avec les commerces : de même que le e-commerce a conduit certaines enseigne à réduire leurs réseaux de boutiques au profit de magasins les mieux placés pour optimiser l’expérience client, certaines entreprises pourraient réduire les surfaces qu’elles occupent au profit de bureaux « flagships », aux aménagements plus soignés et situés dans les quartiers les plus prisés. Leur coût plus élevé serait compensé par des surfaces occupées plus petites, ainsi que des gains en matière de rétention des meilleurs profils, d’amélioration de l’image de l’entreprise, etc.

Par ailleurs, la crise sanitaire majeure qui frappe aujourd’hui pourrait se répéter. Utilisateurs comme bailleurs seront plus attentifs à la gestion des risques, qu’ils soient sanitaires ou environnementaux. Dans ce contexte, la tendance des entreprises à regrouper leurs effectifs au sein de grandes ou très grandes surfaces pourrait-elle s’inverser au profit de stratégies multi-sites ? Rien n’est moins sûr. Les utilisateurs continuent de privilégier la collaboration entre équipes tout en étant plus attentifs à la maîtrise des coûts immobiliers. En revanche, les espaces de travail évolueront pour assurer la sécurité des collaborateurs et la continuité de l’activité en cas de nouveau choc.

Zoom sur le coworking, dynamique freinée

La première conséquence évidente du Covid-19 sera la diminution des surfaces prises à bail par les opérateurs de coworking. Un ralentissement était déjà attendu avant le déclenchement de la crise sanitaire en raison de l’arrêt de l’expansion de WeWork, dont les prises à bail avaient totalisé 50 000 m² sur le seul 1er semestre 2019. Toutefois, la fin de la période de confinement s’accompagnera-t-elle d’une reprise, même moins marquée, de la croissance du coworking ? Le modèle pourrait de fait profiter du manque de visibilité des entreprises, qui auraient ainsi tendance à recourir au coworking car plus réticents à s’engager sur des baux fermes.

Néanmoins, le coworking pourrait pâtir des difficultés économiques des entrepreneurs et des petites entreprises, socle traditionnel de leur activité. Quant aux grands groupes, ils pourraient être tentés de rapatrier les équipes installées au sein d’espaces de coworking pour alléger leurs coûts immobiliers à court terme et peut-être pouvoir mieux contrôler la sécurité de leurs collaborateurs tant que la crise sanitaire n’aura pas été définitivement maîtrisée. S’ajoute à cela la problématique de la non-perception des loyers par les opérateurs de coworking.

Dans ce contexte, certains seraient contraints de mettre un terme aux négociations en cours, voire de libérer des surfaces. A plus long terme, nous privilégions toutefois un scénario médian, entre poursuite du succès du coworking en raison de tendances structurellement favorables d’une part, et concentration plus marquée du secteur au profit des opérateurs les plus solides d’autre part.

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Immobilier de bureaux : Mata Capital signe bail de 9 ans avec Société Générale à Arcueil

La Rédaction
Le Courrier Financier

Mata Capital — société de gestion indépendante, spécialiste des fonds immobiliers pour institutionnels et groupes familiaux privés — annonce ce mardi 31 mars la signature d’un bail en l’état futur d’achèvement (BEFA) d’une durée ferme de 9 ans avec Société Générale, au sein de l’immeuble Green Oak situé sur le secteur de la Vache Noire, à Arcueil (Val-de-Marne).

Société Générale occupera 4 000 m² répartis sur les trois premiers étages où elle rassemblera environ 300 collaborateurs. Avec cette opération, l’immeuble Green Oak construit par Kaufman & Broad — qui développera un total de 10 700 m² de bureaux à horizon 2021 — affiche ainsi un taux de pré-commercialisation de l’ordre de 40 %. Dans le cadre de cette transaction, la Société Générale était conseillée par Cushman & Wakefield.

Solide démarche RSE

Situé dans un pôle majeur de la périphérie Sud de Paris, l’actif bénéficiera d'une double desserte RER B et métro, suite à l’arrivée de la ligne 4 prévue en 2021 au niveau de la nouvelle station « Barbara », à 700 mètres de l’immeuble. Développé par Kaufman & Broad, et co-signé par les agences Mootz & Pelé et Calq, le projet s'inscrit dans une démarche RSE chère à Mata Capital.

L'immeuble inclut une structure mixte bois et béton, une quadruple certification et une triple labellisation énergétique : labels E+C-, Bâtiment Biosourcé et Effinergie + ; certifications NF HQE passeport Excellent, BREEAM very good, WiredScore Platinum, Well Silver. « Nous sommes très optimistes sur notre capacité à signer prochainement de nouveaux baux sur les surfaces encore disponibles, à savoir les étages les plus élevés », déclare Jean-Baptiste Avierinos, directeur des investissements chez Mata Capital.

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Immobilier de bureaux : PERIAL AM achète un immeuble à Aix-en-Provence

La Rédaction
Le Courrier Financier

PERIAL Asset Management (AM) — spécialiste de la gestion d'actifs immobiliers — annonce ce mardi 23 avril s'être porté acquéreur auprès d’une foncière privée d’un immeuble mixte — bureaux et commerces — situé dans le centre-ville d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Cette transaction s'est conclue pour un montant de 22 M€ au bénéfice de la SCPI PFO gérée par PERIAL AM.

L'immeuble CENTRAIX acquis par PERIAL AM à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)

Un rendement net initial de 6,75 %

L'immeuble CENTRAIX développe 9 350 m² répartis sur un rez-de-chaussée, 3 étages et 4 niveaux de sous-sol à usage de parking. Son classement ERP 2e catégorie et sa localisation confèrent à ce bâtiment une forte attractivité. L’actif est loué à 100 % à 10 locataires dont SUPER U, le Centre National de la Fonction Publique Territoriale, un centre de formation aux métiers du numérique et le département des Bouches-du-Rhône.

 « Cet investissement dégage un rendement net initial de 6,75 %. Il illustre la capacité de notre équipe investissement à identifier des actifs de qualité en région, dotés d’un très bon rapport rendement / risque », précise Yann Guivarc’h, Directeur Général de PERIAL AM. l’étude Oudot & Associés et le vendeur par l’Etude Feraud et Voglimacci ont accompagné PERIAL AM dans cette transaction. L'opération a été réalisée par l’intermédiaire de ARP.

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BNP Paribas Real Estate nomme Eric Siesse à la direction du pôle bureaux location IdF

La Rédaction
Le Courrier Financier
Il reporte à Laurent Boucher, président de BNP Paribas Real Estate Advisory France. Directeur du département grandes opérations bureaux Île-de-France depuis mars 2014 avec une équipe de collaborateurs seniors intervenant sur les sujets supérieurs à 5000 m2, son périmètre est désormais élargi aux quatre centres de profits 0- 5000 m2. Le Pôle Bureaux Location Ile-de-France comprend 150 collaborateurs et a généré près de 800 transactions locatives en 2016 pour plus de 900 000 m2. Eric Siesse est titulaire d'un Master de la Lincoln International Business School. Il bénéficie de plus de vingt ans d'expérience dans le conseil en immobilier d'entreprise. Il a débuté sa carrière chez JLL où il a occupé différents postes au sein du Département Agence.
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Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France après 2 années de R&D.

La Rédaction
Le Courrier Financier

L'innovation d'Empreinte Emploi France réside dans sa méthodologie de collecte de données, de modélisation et d'analyse « ImpacTer ». Le modèle « ImpacTer » permet, principalement, d’évaluer les retombées socioéconomiques engendrées par l’activité d’une entreprise sur sa chaîne de valeur comme la création d’emplois et de valeur générées par l’activité de ses fournisseurs implantés sur le territoire. Il permet également d’estimer les retombées fiscales de ces entreprises ou encore les emplois induits par la consommation locale des employés de toute la chaine de valeur française.

Veuillez trouver ci-dessous le lien vers le communiqué de presse (2 pages) :

Communiqué de presse - Talence Gestion innove dans l’ISR avec le lancement du fonds Empreinte Emploi France - 20.03.2024

Didier Demeestère, Président fondateur de Talence Gestion, déclare : « Nous avons développé une expertise unique et nous nous réjouissons de proposer Empreinte Emploi France à notre clientèle privée et à nos clients institutionnels. Ce fonds ISR et article 9 unique en son genre affiche un objectif d’investissement durable au service des emplois et du territoire français. Désormais, l’investisseur d’Empreinte Emploi France pourra constater les retombées socio-économiques induites par les entreprises du fonds. Cette démarche favorisant les entreprises françaises qui relocalisent en France est une réponse à l'aspiration grandissante de donner du sens à ses investissements, pour la construction d’une économie plus durable. »

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Daniel CARCELES, nouveau directeur général d’INOVÉA

La Rédaction
Le Courrier Financier

Créé en 2017 par Marc ROSTICHER, Gérard PIERREDON, Yannis HOFFMANN, et Emmanuel HARDY, 4 Conseillers en gestion de patrimoine, INOVÉA change de directeur général. Jean-Paul SERRATO qui accompagnait le réseau depuis sa création part à la retraite et passe le relais à Daniel CARCELES. 

“En 7 ans, nous avons réussi à rassembler des professionnels indépendants qui partagent la conviction que la Gestion de Patrimoine ne doit pas être réservée à une élite. Inovéa compte aujourd’hui 2000 adhérents et 65 salariés : une belle aventure humaine profonde et durable !”  explique Jean-Paul SERRATO

Le nouveau directeur général, Daniel CARCELES, 48 ans, va capitaliser sur ses expériences en France et à l’international chez DELL Technologies et American Express GBT pour accompagner le groupe dans son développement et sa croissance.

Ma décision de rejoindre INOVÉA est motivée par trois piliers fondamentaux : le profond ancrage du groupe dans des valeurs humaines essentielles, une stratégie d'accompagnement client qui repose sur une écoute attentive et précise des besoins plutôt que sur une approche exclusivement guidée par une logique de produit, et une ambition inébranlable de rester innovant en intégrant de manière proactive les changements réglementaires et les évolutions numériques. Cela dans le but de continuer à accomplir notre mission pour rendre la gestion de patrimoine accessible à tous.” détaille Daniel CARCELES.

En pleine accélération dans sa transformation numérique, INOVÉA reste néanmoins fidèle à son ADN : permettre au plus grand nombre d’épargnants de bénéficier de conseils professionnels sur mesure pour les aider à atteindre leurs projets de vie.

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