Le résidentiel, neuf et ancien confondus, affiche donc une hausse de 8 % par rapport à 2015, et de 20 % par rapport à 2014.
Le marché de l’ancien a représenté 848 000 transactions (3/4 du marché) et le neuf, 275 000 transactions (1/4 du marché).
En 5 ans (2011/2016), la part de l’ancien a progressé, passant de 71 % à 76 % du total des transactions, tandis que, corrélativement, celle du neuf diminuait, passant de 29 % à 24 %.