Remake confirme son envol et démontre la pertinence de son modèle en assurance-vie

Asset Management - Six mois après son lancement, Remake Live, première SCPI sans commission de souscription référencée en assurance-vie, atteint une taille de 82 millions d'euros.

Grâce à l’absence de commission de souscription, Remake Live fait converger le modèle de frais des SCPI vers le modèle des OPCVM, fondé sur la commission de gestion. Pour la première fois, l’épargnant peut investir dans une SCPI disponible en contrat d’assurance-vie sans subir la décote ente le prix de souscription et le prix de retrait. Une véritable alternative aux SCPI traditionnelles qui a rapidement trouvé son marché puisque quatre assureurs ont déjà référencé Remake Live. D’autres devraient suivre très prochainement.

Remake Live capitalise déjà 82 millions d’euros et vise un objectif de plus de 100 millions d’euros au 31 décembre 2022, signant l’un des meilleurs démarrages du secteur.

Une approche foncière assumée et partagée

Remake Live capture les tendances démographiques et économiques des grandes métropoles, en France et en Europe, en privilégiant les territoires susceptibles de se densifier. Cette approche foncière offre au gérant une réelle liberté sur la typologie des immeubles cibles et donc une meilleure diversification des risques. Ainsi, Remake Live est une SCPI opportuniste, dans tous les secteurs de l’immobilier d’entreprise.

Sa stratégie d’investissement représente aussi l’opportunité d’améliorer le parc existant et d’inscrire naturellement Remake Live dans une démarche « Best in Progress » conforme à ses engagements ESG, démontrée par l’obtention du label ISR seulement trois mois après son lancement.

Nicolas Kert, co-fondateur et président de Remake Asset Management, avait d’ailleurs déclaré : « la démarche d’amélioration voulue par le label ISR nous a semblé naturelle, évidente. Remake Live accompagne le développement des métropoles et leurs territoires périphériques sur le long terme. Ce développement passe naturellement par une mise aux standards de l’immobilier existant car entretenir un immeuble, c’est aussi préserver sa valeur, pour le bien des utilisateurs, la protection des investisseurs et l’intérêt général. »

Enfin, consciente que la revalorisation de ces territoires s’accompagne parfois d’effets d’éviction des populations les plus fragiles, Remake AM a choisi de déployer 5 à 10% de la collecte de Remake Live dans une poche sociale, investie par exemple, dans des logements sociaux. Une façon, pour les épargnants, de peser davantage en faveur d’un développement équitable des territoires.

« Nous privilégions les actifs en pleine propriété »

Remake Live a rapidement déployé l’épargne collectée puisqu’elle dispose de plus de 100 millions d’euros d’engagements, sur 17 immeubles, dont 12 ont déjà été acquis. En effet, sept acquisitions supplémentaires ont été réalisées durant l’été en France et en Espagne.

En France, les investissements ont porté sur quatre immeubles de bureaux et activités, dont un datacenter, en Ile-de France et à Lyon, pour des tailles unitaires de près de dix millions d’euros. Remake Live a aussi exécuté la première tranche d’un portefeuille de commerces diversifiés au sein de grandes métropoles espagnoles. Le portefeuille constitué au 1er septembre développe plus de 40 000m² sur 81 000m² de foncier.

Son rendement, acte en main, est de 6,20 % hors poche sociale et la durée moyenne des baux est de 5,5 ans. Dans ces conditions, Remake Asset Management révise à la hausse les prévisions de distribution 2022 de Remake Live qui passe de 11 euros à 12,96 euros par part en jouissance.

« La qualité des locataires et la recherche de rendements élevés restent des critères de sélection incontournables à un moment où l’inflation fait son retour. Mais, nous sommes aussi très sensibles au régime de détention des actifs de Remake Live. Nous privilégions les actifs en pleine propriété afin de pouvoir déployer plus sereinement nos convictions ESG, voire d’envisager, à terme, des opérations plus lourdes pour tirer pleinement parti des charges foncières constituées, en complément du rendement locatif », précise David Seksig, co-fondateur et directeur général de Remake Asset Management.

La Rédaction - Le Courrier Financier

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