En réalité, ce chiffre ne reflète pas le dynamisme de la demande domestique américaine, puisque si l’on retranche les contributions très négatives du commerce extérieur (-1,1% du fait d’importations très dynamiques) et du stockage (-0,7%), la demande domestique finale a progressé de 4,3%, soit un des niveaux les plus élevés des quinze dernières années.