Fédération Française du Bâtiment : Olivier Salleron succède à Jacques Chanut

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Fédération Française du Bâtiment (FFB) — association professionnelle forte de 50 000 adhérents, dont 35 000 entreprises de taille artisanale — annonce ce vendredi 12 juin qu'Olivier Salleron (52 ans), élu président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) le 20 mars dernier, vient de succéder à Jacques Chanut lors du conseil d’administration de la Fédération.

Olivier Salleron est président de l’entreprise de chauffage, climatisation, plomberie Salleron SAS à Périgueux (Dordogne). Patrick Ramé, Franck Perraud, Marie Dupuis-Courtes, Henry Brin, Anthony Laudat et Daniel Rigout sont nommés vice-présidents. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Olivier Salleron a dévoilé la constitution de son équipe :

  • Conseil des Régions : Patrick Ramé ;
  • Conseil des Professions : Franck Perraud ;
  • Commission Développement des compétences : Marie Dupuis-Coutes ;
  • Conseil de l’Artisanat : Henry Brin ;
  • Conseil National de la Sous-traitance du Bâtiment et Commission Marchés : Christophe Possémé ;
  • Commission Sociale : Anthony Laudat ;
  • Jeunes dirigeants et Communication : Marie-Ange Gay-Ramos ;
  • Commission Économique : Samuel Minot ;
  • Commission Transition écologique : Jean Passini ;
  • Femmes dirigeantes : Valérie Copin ;
  • Commission Innovation et Transition numérique : Emmanuel Gravier ;
  • Commission Stratégie et prospective : Edouard Bastien ;
  • Développement : Frédéric Carré ;
  • Trésorier : Jacques Blanchet.

Etats généraux de la construction

Au cours de son intervention, Olivier Salleron a rappelé sa détermination à donner plus de place au bâtiment dans l'économie nationale et à préparer le futur de la profession. C’est pourquoi, le nouveau président de la FFB a annoncé le lancement des Etats généraux de la construction, dans le cadre de la relance après la crise sanitaire.

« Nous allons répondre aux défis immenses qui nous attendent. Le lancement d'un plan massif de rénovation énergétique des bâtiments en est une première illustration, au même titre que la nécessité d'accompagner la rénovation ou la construction d'un million de logements par an sur tout le territoire », déclare Olivier Salleron.

De quoi matérialiser la relance durable du secteur et apporter les réponses aux grands enjeux qui attendent l’ensemble du bâtiment et de la filière : chantiers du futur, image et attractivité du secteur, recherche de nouveaux gains de compétitivité, valorisation de l'apprentissage, lutte contre toutes les formes de concurrence déloyale, promotion des entreprises autour de l'ensemble des corps de métiers, évolution des compétences, innovation et propositions de la profession dans le cadre de la transformation numérique et de la transition énergétique où le secteur est en première ligne.

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La FFB élit son nouveau Président

La Rédaction
Le Courrier Financier

La Fédération Française du Bâtiment (FFB) annonce ce vendredi 20 mars l'élection de son nouveau Président au cours du conseil d'administration qui s'est tenu le même jour. Dans ce cadre, Olivier Salleron (52 ans) succède à Jacques Chanut, Président de l'association professionnelle depuis 2014.

Déclarée première organisation patronale représentative des employeurs du bâtiment — toutes tailles d'entreprises confondues — la FFB revendique 50 000 adhérents, dont 35 000 de taille artisanale. En 2018, ces entreprises réalisaient les deux tiers du chiffre d'affaires (CA) du secteur et employaient les deux tiers de ses salariés. La FFB défend les intérêts collectifs de l’ensemble de la branche.

Focus sur le profil d'Olivier Salleron

La FFB élit son nouveau Président
Olivier Salleron

Olivier Salleron est Président de l’entreprise de chauffage, climatisation, plomberie Salleron SAS qui est implanté à Périgueux en Dordogne. Il est actuellement Vice-président et Président de la Commission Sociale de la FFB, ainsi que Président de la Fédération Régionale Nouvelle Aquitaine. Sa prise de fonction en tant que Président de la FFB interviendra à partir du vendredi 12 juin 2020, à l’issue du prochain conseil d’administration de l'association.

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Niches fiscales : Vers une suppression du gazole non routier pour le BTP ?

La Rédaction
Le Courrier Financier

Lors d’un entretien avec Bruno Le Maire — ministre de l’Économie et des Finances — ce lundi 6 mai à Bercy, Bruno Cavagné — Président de la Fédération Nationale des Travaux Publics (FNTP) — et Jacques Chanut —Président de la Fédération Française du Bâtiment (FFB) — ont indiqué leur vive opposition à la suppression du gazole non routier (GNR), dont l’annonce à l’automne dernier avait inquiété le secteur du BTP.

Cette suppression était prévue dans le projet de loi de finances pour 2019. Le projet avait été abandonné à cause des conséquences jugées désastreuses pour les entreprises du secteur. Bruno Cavagné et Jacques Chanut ont demandé à Bruno Le Maire de ne pas rééditer la suppression du GNR envisagée il y a six mois. Ce serait 750 millions euros de hausse de taxe dans le BTP, dont 700 millions pour le seul secteur des TP (Travaux Publics), soit l’équivalent de la totalité de sa marge nette.

Absence d'alternative à la consommation de gazole

Il n’existe pas, à ce jour, sur le marché d’engins de substitution — sinon à l’état embryonnaire — qui permettraient d’éviter une consommation de gazole. Il faudra au moins une décennie pour accompagner la conversion écologique du secteur, en y associant les fabricants d’engins. En outre, les entreprises du BTP n’ont pas toujours les moyens juridiques pour répercuter une hausse de taxe sur le donneur d’ordre dans le cadre de contrats pluriannuels, souvent à prix ferme sans clause de révision de prix.

Pour Jacques Chanut et Bruno Cavagné, « au moment même où la crise des gilets jaunes montre la nécessité impérieuse de prendre soin de nos territoires, il serait totalement inconséquent de déstabiliser les TPE-PME d’un secteur créateur d’emplois locaux et dont l’activité même participe à la cohésion des territoires et à la transition écologique ».

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Jacques Chanut est réélu à la présidence de la FFB

La Rédaction
Le Courrier Financier
Le très large soutien obtenu à l’occasion de ce vote renforce la détermination de Jacques Chanut à poursuivre son combat pour le développement des marchés. Il agira notamment pour : - lutter contre la fraude au travail détaché en réclamant les contrôles le soir et le week-end sur les chantiers, mais aussi chez les particuliers ; - simplifier la vie des entrepreneurs et artisans rendue complexe par un excès de réglementations et de normes comme la pénibilité ; - résoudre la fracture territoriale qui fragilise des pans entiers du territoire et leur population ; - transformer les transitions numérique et environnementale en opportunités de développement pour les métiers du bâtiment ; - relancer l’apprentissage, malmené par huit ans de crise, et valoriser l’excellence pour faire progresser les métiers et les savoir-faire du secteur ; - imposer un syndicalisme patronal indépendant, sans financement public direct ou indirect. Jacques Chanut, 52 ans, est Président de l’entreprise de gros-œuvre Chanut Bâtiment SAS à Bourgoin-Jallieu (38) depuis 1996 et de l’entreprise Rainero à Voiron (38) depuis 2012. A l’issue du Conseil d’administration de la FFB, il a rappelé : « Il n’y a pas d’emploi sans entreprise. Il n’y a pas d’entreprise sans marché. Il n’y a pas de marché sans projet solide et réaliste. C’est pourquoi la priorité de mon deuxième mandat portera sur le développement de l’activité, l’assainissement de la concurrence et l’allègement des contraintes pour les entrepreneurs et les artisans ».
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Carmignac Nomme un Gérant Actions de tout premier plan pour deux de ses stratégies phares

La Rédaction
Le Courrier Financier

Kristofer prendra les rênes de la stratégie Carmignac Investissement ainsi que de la poche actions de la stratégie Carmignac Patrimoine et rejoindra également le comité d’investissement stratégique.

Cette arrivée fait suite à la décision de David Older de prendre sa retraite et de quitter l'entreprise le 4 avril 2024.

Pour la gestion de la stratégie Patrimoine, Kristofer travaillera aux côtés des deux duos d’experts promus en septembre dernier au service des trois moteurs de performance dont est désormais dotée la stratégie : la sélection de titres, la gestion de la poche obligataire et de l’exposition devises et le pilotage de la composante macro-économique, la construction de portefeuille et la gestion des risques.

De nationalités américaine et suédoise, Kristofer est diplômé en commerce et en finance de l’Université d’Uppsala en Suède. Il rejoint Carmignac en provenance de Swedbank Robur, où il a dirigé depuis 2006 plusieurs fonds actions sur les marchés développés et émergents. En avril 2016, Kristofer a pris la responsabilité d’une stratégie actions internationales, aujourd’hui notée cinq étoiles par Morningstar et dont l’encours sous gestion est de l’ordre de 10 milliards d’euros. En mars 2020, il a été nommé gérant d’un fonds actions technologiques, aujourd’hui également notée cinq étoiles par Morningstar 1 et dont l’encours sous gestion atteint
12,8 milliards d’euros.

Kristofer est un expert de la sélection de titres. Fort d’une approche d’investissement éprouvée combinant la recherche fondamentale approfondie sur les entreprises et analyse macroéconomique pragmatique, Kristofer a obtenu des résultats exceptionnels sur le long terme.

Depuis qu’il en a pris la gestion en avril 2016, le fonds actions internationales a surperformé son indice de référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 133 % et de 145 %, et l’encours sous gestion a été multiplié par près de cinq2.

De même, le fonds actions technologiques dont il a pris la gestion en mars 2020 a surperformé son indice de
référence et la moyenne de sa catégorie respectivement de 105 % et de 89 % alors que, dans le même temps, son encours sous gestion a presque triplé3
.
Édouard Carmignac déclare : « L’arrivée de Kristofer illustre l’attractivité de Carmignac pour les entrepreneurs qui nourrissent une passion pour la gestion active de conviction. Ses résultats passés sont très impressionnants et je suis convaincu que son processus d’investissement éprouvé profitera largement à nos clients sur le long terme.
Je tiens également à remercier David Older pour sa contribution au développement de l’équipe actions de Carmignac. Je profite de cette occasion pour lui souhaiter le meilleur pour l’avenir. »

Kristofer Barrett ajoute : « Les prochaines années s’annoncent charnières sur les marchés actions. Je suis convaincu qu’une gestion active, permettant de mettre en œuvre des convictions dans les portefeuilles, est la clé de la réussite dans cet environnement en mutation. Carmignac a fait, en partie, sa renommée sur sa capacité à se positionner à contre-courant chaque fois que cela s’est avéré nécessaire et je suis impatient de rejoindre son équipe de gérants talentueux. »

« Après neuf années passionnantes chez Carmignac, le moment est venu pour moi de prendre ma retraite. Je laisse l’équipe et les fonds entre de bonnes mains et je continuerai à suivre de près les succès futurs de Carmignac », conclut David Older.

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La SCPI Alta Convictions acquiert à Annecy un Retail Park 100% loué et conforte son objectif de distribution

La Rédaction
Le Courrier Financier


Cet actif, acquis pour un montant d’environ 25M€ à des conditions reflétant le nouveau cycle immobilier, est en ligne avec la stratégie de la SCPI Alta Convictions de constituer un patrimoine de qualité, et de servir un rendement d’a minima 6%* en 2024 aux porteurs de parts.

Situé dans le pôle commercial établi d’Annecy Seynod qui attire 12 millions de visiteurs par an, cet actif bénéficie d’un excellent positionnement au sein d’un bassin annécien prospère et en croissance, attirant chaque année de
nouveaux habitants.

Les 9 cellules commerciales du retail park sont 100% louées à des enseignes de renom comme l’enseigne d’électroménager Boulanger, adressant aussi bien l’équipement de la personne que l’équipement de la maison. Signe que le retail park a trouvé son marché, 7 des 9 enseignes sont présentes depuis l’ouverture du site en 2007 et nombre d’entre elles ont renouvelé leur bail récemment.

Altarea IM a d’ores et déjà identifié des leviers permettant d’envisager à terme des réversions de loyers ou des sources de revenus complémentaires, en ce compris via l’amélioration des caractéristiques environnementales de l’actif (installation de panneaux photovoltaïques, bornes de recharge de véhicules électriques) et pourra s’appuyer sur les expertises reconnues en la matière du Groupe Altarea.

La SCPI Alta Convictions a été conseillée par l’étude Allez & Associés. L’acquisition a été financée par BECM (Banque Européenne du Crédit Mutuel), conseillée par Victoires Notaires Associés. JLL a été l’intermédiaire de la transaction dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas RETF.

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