Lors du sprint final dans la course à l’Elysée, l’élément clé s’est avéré être davantage ce calamiteux taux de chômage français de 10% - le double de ses voisins européens du nord - que l’immigration. Les votants ont élu Emmanuel Macron pour ses propositions pro-business qui pourraient déverrouiller l’investissement et stimuler les marchés français.
Les 100 premiers jours de la présidence Trump ont pu donner une impulsion aux rendements des actions internationales, mais le moins conventionnel des présidents américains aura besoin de se retrousser les manches concernant certaines de ses promesses de réformes fiscale et réglementaire afin de maintenir un momentum positif.
Je pense que les investisseurs restent d’une manière générale prudents quant à l’impact potentiel de la présidence de Donald Trump, étant soit frustrés soit rassurés par les fameux « pouvoirs et contrepouvoirs » du système politique américain qui impliquent que les trois organes du pouvoir ont leur mot à dire sur les mesures que Donald Trump peut implémenter.